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Plateforme ouverte du patrimoine
Deux études d'homme prosterné
Identification du bien culturel
N°Inventaire
INV 28503, recto
Domaine
Titre
Deux études d'homme prosterné
Précision auteur
né en 1619 ; mort en 1690
Ecole-pays
France
Période de création
Millésime de création
1670 vers
Matériaux - techniques
Mesures
H. en m 0,288 ; L. en m 0,449
Description
Sanguine, avec rehauts de craie blanche, sur papier beige. Bords irréguliers
Précisions sujet représenté
Jésus-Christ, Christ, Tardieu C. gravure en rapport; Versailles, château; Versailles, château, oeuvre en rapport; Versailles, château, chapelle; Versailles, château, chapelle, oeuvre en rapport; Le Brun, Charles, Dieu dans sa gloire; iconographie religieuse; Ancien Testament; Flagellation; Le Brun, Charles, La Flagellation; Flagellation du Christ; Passion du Christ; Instruments de la Passion; Christ visité par un ange
Contexte historique
Genèse
oeuvre en rapport
Informations juridiques
Statut juridique
propriété de l'Etat, saisie, musée du Louvre département des Arts graphiques
Date acquisition
1690
Ancienne appartenance
Cabinet du Roi dernière provenance : Cabinet du Roi
Informations complémentaires
Commentaires
Etude pour La Flagellation, peint par Le Brun dans la première moitié des années 1670. Ce tableau aujourd'hui disparu ne résulte pas d'une commande. Le style est proche des recherches pour la chapelle de Versailles, ce qui permet de le dater de la première moitié des années 1670. Il a été gravé en sens inverse par C. Tardieu (Weigert, 1965, n° 63). Etudes pour l'un des deux anges se cachant la tête dans les mains, en haut, à gauche de la composition. L'une des études est un simple croquis ; dans l'autre, le modelé est suggéré par des hachures larges dont le style s'apparente à celui des recherches pour la chapelle de Versailles (Dieu dans sa gloire). (L. Beauvais, Musée du Louvre, Département des Arts graphiques, Inventaire général des dessins, Ecole française, Charles Le Brun, 1619-1690, tome I, Paris, RMN, 2000, n° 1343, p. 385) Atelier de Le Brun. Entré dans les collections royales en 1690 ; paraphe de Jean Prioult (L. 2953) au verso ; marque du musée (L. 1886).
