Le Printemps

N°Inventaire

INV 32407, recto

Domaine

Titre

Le Printemps

Auteur

Précision auteur

né en 1728 ; mort en 1808

Ecole-pays

France

Période de création

Millésime de création

1759 vers, 1760 vers

Matériaux - techniques

Mesures

H. en m 0,383 ; L. en m 0,502

Description

Pierre noire, plume, pinceau et encre noire, lavis gris, quelques corrections à la gouache sur papier blanc verni (aujourd'hui beige). Trait d'encadrement à la plume et encre noire, encadrement à bordure au lavis vert, filet doré et trait d'encadrement à la plume et encre noire. Signé en bas vers la gauche, à la plume et encre noire :J. Pillement

Précisions sujet représenté

Mason J. gravure en rapport; Londres; Paris, Bibliothèque Nationale, Cabinet des Estampes, oeuvre en rapport; Paris, Bibliothèque Nationale, oeuvre en rapport; paysage; Le Printemps; Quatre saisons; Quatre saisons et leurs amusements (suite gravée); Fêtes galantes; Mason, James, Les Amusements du Printemps; personnage

Genèse

oeuvre en rapport

Statut juridique

propriété de l'Etat, musée du Louvre département des Arts graphiques

Ancienne appartenance

Louis-Philippe, biens privés ; Louis-Philippe Ier, roi des Français dernière provenance : Louis-Philippe, biens privés

Localisation

Commentaires

Figures au bord d'une rivière, dans un paysage boisé. Ce dessin et les trois suivants (Inv. 32 408, 32 409 et Inv. 32 410) composent une suite des Quatre Saisons et leurs amusements, gravée à Londres en 1759 et 1760. Le Printemps est gravé avec Privilège du 26 décembre 1757 en sens inverse par James Mason sous le titre Les Amusements du Printemps (Paris, B.N.F., Estampes, Dc 6 Fol. ; C. Riotor, L'Oeuvre décorative, peinte et gravée de J. Pillement, 1930, pl. 5). La légende indique que la gravure de cette suite est faite d'après l''Original de même grandeur inventé et dessiné par Jean Pillement. Cette suite est caractéristique des dessins très achevés de Pillement désireux de rivaliser en dessin avec la peinture. On retrouve aussi dans cette catégorie de dessins, les modèles pour les manufactures de faïence et de porcelaine. [...] Les quatre dessins de cette suite forment une synthèse entre les influences des peintres du Nord du XVIIe siècle et les paysagistes français du XVIIIe siècle. Le souvenir des Fêtes galantes, chères au début du siècle, est aussi également constant. (M. Pinault Sorensen, Musée du Louvre, Cabinet des dessins - Inventaire Général des dessins français, Lettre P, Paris, 1997, R.M.N., n° 1328, p. 338-339.) Entré sous le règne de Louis-Philippe (L. 1886 a).