2013.0.284 ; R-2007-1-110 ; R-2007-1-146 (ancien numéro de récolement provisoire)
Homme à l'oiseau
gallo-romain
H. 181 cm ; l. 77,5 cm ; P. 29 cm ; Vol. 0,4068
"Les restaurations contemporaines de la découverte ont été supprimées lors de la restructuration du musée d'Epinal en 1992 et la stèle est aujourd'hui en trois fragments. La partie basse, sous les chevilles du personnage, est perdue ainsi que le petit fragment correspondant à la portion sommitale du montant gauche de la niche, pourtant visible sur les clichés les plus récents du monument. [...] Le défunt, traité en bas-relief, se tient debout dans une niche à fond plat. Cette dernière est délimitée par deux montants, au sommet desquels sont sculptés deux larges chapiteaux décorés d'esses et de L imbriqués. Ces chapiteaux surmontent deux minces bandeaux qui servent eux-mêmes de supports à deux dauphins placés en acrotères. L'ensemble de la décoration foisonnante de la partie sommitale de la stèle est en demi-méplat. Les motifs employés sont délibérément stylisés : ainsi, les nageoires postérieures des dauphins, qui se rencontrent au sommet du monument, au-dessus d'un petit ove, et forment de gros enroulements très décoratifs." (Moitrieux, 2010)
France ; Grand Est ; Vosges ; Charmois-l'Orgueilleux (lieu de découverte) ; (Grand Mald'heux, lieu de découverte) ; 1875 (date de découverte)
propriété du département, mode d'acquisition inconnu, Vosges, musée départemental d'art ancien et contemporain
VOULOT Félix, Catalogue des collections du musée départemental des Vosges - 1ère partie série d’Art, Epinal, E. Busy impr., 1880, p.26, n° 54 ; Corpus Inscriptionum Latinarum, Inscriptiones trium Galliarum et Germaniarum Latinae , 1899, n° 4723 ; ESPÉRANDIEU Emile, Recueil général des bas-reliefs, statues et bustes de la Gaule romaine, Paris, Imprimerie nationale, 1915, p.147, n° 4795 ; MOITRIEUX Gérard, CASTORIO Jean-Noël (avec la collaboration de), Toul et la cité des Leuques, Recueil général des sculptures sur pierre de la Gaule, Paris, Académie des inscriptions et belles lettres, 2010, p.34, n° 80