Ferme

Désignation

Dénomination de l'édifice

Ferme

Destination actuelle de l'édifice

Maison

Titre courant

Ferme

Localisation

Nouvelle-Aquitaine ; Deux-Sèvres (79) ; Vitré

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Celles-sur-Belle

Lieu-dit

La Blanchardière

Références cadastrales

1817 B2 407 à 410 ; 1949 B2 163 à 165

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En écart

Partie constituante non étudiée

Cour ; grange ; étable ; écurie ; hangar agricole ; four ; porcherie ; puits ; cimetière

Historique

Siècle de la campagne principale de construction

17e siècle ; 4e quart 19e siècle ; 2e moitié 20e siècle

Année(s) de(s) campagne(s) de construction

1881

Commentaires concernant la datation

Porte la date ; daté par source ; daté par tradition orale

Auteur de l'édifice

maître d'oeuvre inconnu

Description historique

Cette ferme, dont la plus ancienne mention date de 1664, dépendait à l'origine du manoir de Châteauneuf. Elle figure sur le plan cadastral de 1817 et se composait sur la parcelle 408 d'une maison, d'un bâtiment, d'une cour, d'un pailler (parcelle 409) , d'une partie de la grange (parcelle 410) et de l'écurie isolée. Elle est restée une ferme de rapport appartenant à la famille de Clervaux pendant une partie du 19e siècle. En 1882, Henri Nicolas en était le propriétaire et le logement construit avant cette date était imposé pour quatre ouvertures. Vers 1885, le logement a été agrandi et a été imposé ensuite pour huit ouvertures. A cette même époque, des dépendances agricoles auraient été accolées à la grange. Selon la tradition orale, le logis a été transformé vers 1950.

Description

Matériaux du gros-œuvre

Calcaire ; moellon

Matériaux de la couverture

Ardoise ; tuile creuse

Description de l'élévation intérieure

1 étage carré

Partie d'élévation extérieure

Élévation ordonnancée

Typologie de couverture

Toit à longs pans ; croupe ; appentis

Emplacement, forme et structure de l’escalier

Escalier intérieur : escalier droit, en charpente

Commentaire descriptif de l'édifice

Le logis présente sa façade, à trois travées et porte centrale, sur le mur gouttereau. Des traces d'une reprise sont visibles à droite de la travée centrale. Il a été exhaussé et se compose actuellement d'un rez-de-chaussée et d'un étage carré. Les appuis sont saillants Le logis a une toiture à longs pans et croupes couverte d'ardoise, la dépendance adossée a une toiture en appentis couverte de tuile creuse. Le four, accolé à gauche du logis, a une toiture à longs pans couvrant le pignon et présente des oculi sur les élévations antérieure et postérieure. Sur la façade de la grange à droite du portail d'accès le chaînage témoigne de la reconstruction et de l'adjonction d'une étable. Le hangar est soutenu par trois piliers en bois. Le cimetière, situé sur la parcelle 165, est envahi par la végétation et clos d'un mur en maçonnerie. Le linteau de sa porte d'entrée porte la date 1881.