Ferme

Désignation

Dénomination de l'édifice

Ferme

Destination actuelle de l'édifice

Maison

Titre courant

Ferme

Localisation

Nouvelle-Aquitaine ; Deux-Sèvres (79) ; Beaussais

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Celles-sur-Belle

Lieu-dit

Le Quaireux

Références cadastrales

1817 D 68 ; 1946 D1 137

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En écart

Partie constituante non étudiée

Cour ; étable ; porcherie

Historique

Siècle de la campagne principale de construction

15e siècle ; 16e siècle ; 1er quart 19e siècle

Auteur de l'édifice

maître d'oeuvre inconnu

Description historique

Le logis de cette ancienne ferme figure déjà sur le plan cadastral de 1817. Il a conservé deux baies chanfreinées, une sur la façade du logis et une autre sur la façade de la dépendance accolée à l'est du logis. A l'intérieur il y une cheminée non engagée dont les consoles pourraient dater du 15e ou du 16e siècle. Un sautoir est gravé sur la console de gauche et des traits (des fasces ou des jumelles) ornent la console de droite. Il pourrait s'agir d'une ancienne métairie dépendant du manoir du Quaireux. Dans le courant du 20e siècle, le cellier à droite de la pièce principale a été transformé en pièce d'habitation ; les baies de la façade ont été remaniées, mais la fenêtre de l'ancien cellier a conservé sa taille d'origine. Dans le dernier quart du 20e siècle, le hangar a été démoli.

Description

Matériaux du gros-œuvre

Calcaire ; moellon

Matériaux de la couverture

Tuile creuse

Description de l'élévation intérieure

En rez-de-chaussée ; comble à surcroît

Partie d'élévation extérieure

Élévation à travées

Typologie de couverture

Toit à longs pans ; pignon couvert

Commentaire descriptif de l'édifice

Le logis présente sa façade, à travées, sur le mur gouttereau sud. A droite de la porte d'entrée, la pierre d'évier est surmontée d'un oculus ovale, appelé oeil du bac. Le grand comble à surcroît est éclairé par deux baies dont celle au-dessus de la porte a un montant chanfreiné (remploi ?). A l'intérieur, la hotte d'une grande cheminée non engagée repose sur des consoles ; celle de gauche est gravée d'un sautoir, et celle de droite de trois fasces ou jumelles. L'ancien cellier à droite du logis a conservé une petite baie chanfreinée. L'ancienne porcherie a un mur de gros moellons équarris.