Maison

Désignation

Dénomination de l'édifice

Maison

Titre courant

Maison

Localisation

Nouvelle-Aquitaine ; Deux-Sèvres (79) ; Prailles

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Celles-sur-Belle

Références cadastrales

1818 G ; 1975 AT 93

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En village

Partie constituante non étudiée

Cour ; grange ; étable ; hangar agricole ; porcherie ; four ; poulailler ; séchoir ; puits

Historique

Siècle de la campagne principale de construction

16e siècle ; 2e moitié 19e siècle ; 4e quart 20e siècle

Auteur de l'édifice

maître d'oeuvre inconnu

Description historique

Sur l'ancien plan cadastral sont déjà figurés : le logis, le fournil, la majeure partie des toits à porcs et un bâtiment à l'emplacement des dépendances (grange) au nord-est. Ce dernier a été rebâti à une époque inconnue ; le poulailler, le puits et la dépendance avec l'escalier en pierre accolé à l'est ont été construits à une date inconnue dans le seconde moitié du 19e ou au début du 20e siècle. Le logis a été rénové dans le dernier quart du 20e siècle.

Description

Matériaux du gros-œuvre

Calcaire ; moellon ; enduit

Matériaux de la couverture

Tuile creuse

Description de l'élévation intérieure

1 étage carré ; comble à surcroît

Typologie de couverture

Toit à longs pans ; pignon couvert

Emplacement, forme et structure de l’escalier

Escalier de distribution extérieur : escalier droit, en maçonnerie

Commentaire descriptif de l'édifice

Le logement a sa façade sur le mur gouttereau au nord-est. Cette façade se distingue par plusieurs rangées de trous de boulin au niveau du comble à surcroît. La grande pièce (la salle) du rez-de-chaussée à droite a conservé une grande cheminée non engagée dans laquelle se trouve un petit potager ou un pot à sel. La fenêtre donnant sur la façade postérieure possède un coussiège. Le sol est couvert de dalles rectangulaires de tailles variables. Ces éléments permettent d'émettre l'hypothèse que ce logis pourrait dater du 16e ou du début du 17e siècle et qu'il a été restauré dans le courant du 18e siècle (dallage, porte d'entrée). L'ancien hangar accolé à gauche comprenait un séchoir (à noix, à châtaignes) formé par des piles maçonnées dépassant de trois quartiers le mur en pierres sèches dont les ouvertures étaient à l'origine fermées par des lattis de châtaigner. Ce hangar a été aménagé pour agrandir la surface habitable.