RF 1983-104
LE LION DE FLORENCE, dit au Salon : TRAIT SUBLIME DE MATERNITE DU SIECLE DERNIER ARRIVE A FLORENCE
Paris, 1754 ou 1755 ; Paris, 1837
France
1801
H. 194, l. 163
église San Lorenzo; un lion s'était échappé de la ménagerie du Grand-Duc de Florence, et courait dans les rues de la ville; l'épouvante se répand de tous côtés [...] Une femme , qui emportait son enfant dans ses bras le laisse tomber en courant. Le lion le prend dans sa gueule. La mère éperdue se jette à genoux devant l'animal terrible, et lui demande son enfant avec des cris déchirants... Le lion s'arrête, la regarde fixement, remet l'enfant à terre sans lui avoir fait aucun mal, et s'éloigne
reproduit en gravure
Gravuer au trait par C. Normand dans Landon (1804 et 1833) ; gravure au burin (inversée) par J.F. Cazenave (1811) ; estampes populaires (inversées) de Pellerin à Epinal (1814) et Hurez à Cambrai (1815-1817)
propriété de l'Etat, achat, musée du Louvre département des Peintures
1983
Ségur Joseph Alexandre vicomte de ; Ségur (héritiers) ; coll. particulière, Saint-Forget-les-Sablons
Salon, Paris, 1801 (an IX), n° 250
Musée du Louvre, nouvelles acquisitions du département des peintures, 1983-1986, Paris, 1987, p. 129-130