Pot à moutarde (type 5A)

N°Inventaire

84.15.5

Domaine

Dénomination

Auteur

Période de création

Millésime de création

1897

Matériaux - techniques

Mesures

H. en cm 21.5 ; D. en cm 9.2 ; D. en cm 12.6

Inscriptions

marque publicitaire

Précisions inscriptions

sur la panse, sur le cul : MOUTARDE EXTRA FINE / DIJON / JULIEN MACK / (au verso) MEDAILLE D'OR BORDEAUX 1890 ; (armoiries) DIGOIN ET SARREGUEMINES

Description

Pot à moutarde pour la marque 'Julien Mack', en faïence fine à décor imprimé

Précisions sujet représenté

représentation des armoiries dijonnaises surmontées d'une couronne à tours crénelées, sur fond de médaillon avec un bâton soutenant du raisins

Lieu de création/utilisation

France, Bourgogne-Franche-Comté, Saône-et-Loire, Digoin (lieu d'exécution), France, Bourgogne-Franche-Comté, Côte-d’Or, Dijon (lieu d'utilisation)

Utilisation / Destination

Précisions utilisation

Julien Mack, commis de la maison des Frères Gros, achète en 1890 le magasin situé au 18 rue de la Gare pour le transformer en atelier de fabrication. La marque Julien Mack est déposée en janvier 1900. En 1902, il installe l'usine au 39-41 rue de Longvic, et garde son magasin de vente rue de la Gare. Son grand-âge l'oblige à vendre en 1919. Louis Troubat achète la fabrique pour ses deux fils Raymond et Paul. En 1923, les ateliers de fabrication déménagent à Plombière au moulin Tamiset tandis que les bureaux restent rue de Longvic. Les frères se divisent en 1929 et seul Raymond continue à fabriquer de la moutarde. En 1940, Raymond Troubat vend la marque Julien Mack à Grey-Poupon qui ne l'exploite pas

Période d’utilisation

4e quart 19e siècle

Millésime d’utilisation

1893

Statut juridique

propriété de la commune, don manuel, Dijon, musée de la vie bourguignonne

Date acquisition

1984

Ancienne appartenance

Drouhin (Abbé)

Localisation

Exposition

Moutarde à Dijon, musée de la Vie Bourguignonne, Dijon, du 21 avril au 30 septembre 1984

Bibliographie

MUSEE DE LA VIE BOURGUIGNONNE, Moutarde à Dijon, Dijon, Ville de Dijon, 1984 (p. 132)