MID.864.1 ; FH 862.176 (Numéro du déposant)
Les Femmes de Jérusalem captives à Babylone
Laval, 1821 ; Chennevières-sur-Marne, 1908
France
1861
H. 232 ; L. 163
signé, daté
Landelle 1861 (en bas à droite)
Illustration du Psaume de David 136 Sur les bords des fleuves de Babylone, nous étions assis et nous pleurions en nous souvenant de Sion. Aux saules de la contrée nous avions suspendu nos harpes. Là, nos vainqueurs nous demandaient des chants, et nos oppresseurs de la joie: Chantez-nous quelques-uns des cantiques de Sion. Comment chanterions-nous les cantiques de l'Eternel sur une terre étrangère ? Si je t'oublie, Jérusalein, que ma droite soit oubliée Que ma langue s'attache à mon palais, si je ne me souviens de toi, si je ne fais de Jérusalem le principal sujet de majoie. Etemel, souviens-toi des enfants d'Edom, qui, dans la journée de Jérusalein, disaient : Rasez, rasez jusqu'à ses fondements ! Misérable fille de Babylone, heureux qui te rend la pareille, le mal que tu nous a fait ! Misérable fille de Babylone ! Heureux qui saisit tes enfants et les écrase sur le roc !
Bible, Psaume
propriété de l'Etat, Fonds national d'Art Contemporain
dépôt, Montauban, musée Ingres
1864
Paris (Salon), 1861 ; Charles Landelle
Ternois, 1965 (n°194)