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Les métamorphoses du jour (planche 62) : Il est assez de geais à deux pieds, comme lui. Qui se parent souvent des dépouilles d'autrui, Et que l'on nomme plagiaires

Identification du bien culturel

N°Inventaire

2005.0.78

Domaine

Titre

Les métamorphoses du jour (planche 62) : Il est assez de geais à deux pieds, comme lui. Qui se parent souvent des dépouilles d'autrui, Et que l'on nomme plagiaires

Précision auteur

Gérard Jean Ignace Isidore dit Granville : Nancy, 1803 ; Vanves, 1847 ; nationalité : Française

Genre

masculin

Ecole-pays

France

Période de création

Période de l’original copié

2e quart 19e siècle

Matériaux - techniques

Mesures

Hauteur en cm de la feuille 17.7 ; Largeur en cm de la feuille 27.5

Contexte historique

Genèse

objet en rapport

Historique

En 1828-1829, Grandville s'est vraiment fait connaître avec Les Métamorphoses du jour, une série de 70 scènes dans lesquelles des personnages humains sont représentés avec une tête d'animal en situation pour un rôle dans la comédie humaine ; voir aussi : Il est assez de geais à deux pieds, comme lui Qui se parent souvent des dépouilles d'autrui, Et que l'on nomme plagiaires (2005.0.79)

Informations juridiques

Statut juridique

propriété de la commune, ancien fonds, La Roche-sur-Yon, musée municipal

Date acquisition

date d'acquisition inconnue

Les métamorphoses du jour (planche 62) : Il est assez de geais à deux pieds, comme lui. Qui se parent souvent des dépouilles d'autrui, Et que l'on nomme plagiaires_0