Roland délivre de l'orque la belle Olympe trahie par son amant Byren (?) ; Roland délivre de Torque la belle Olympe trahie par son amant Byre (?) (ancien titre)

N°Inventaire

1938 F 106

Domaine

Dénomination

Titre

Roland délivre de l'orque la belle Olympe trahie par son amant Byren (?) ; Roland délivre de Torque la belle Olympe trahie par son amant Byre (?) (ancien titre)

Auteur

Précision auteur

Paris, 1728 ; Paris, 1792

Ecole-pays

France

Anciennes attributions

Changement d'attribution ; Vu par M.Cl. Chaudonneret : propose de mettre attribué à (communication orale, juin 1999). Le titre est bien 'Roland délivre de l'orque...' et non pas 'de Torque'. Il s'agirait du chant 11, stance 37 du Roland furieux de l'Arioste. Mais l'épisode représenté pourrait être celui de Tancrède baptisant Clorinde qu'il vient de combattre à mort, chant 12 de la Jérusalem délivrée du Tasse (Stéphane Lojkine, com. écrite 9 février 2009).

Période de création

Epoque

style troubadour

Matériaux - techniques

Mesures

Hauteur 0.59 ; Largeur 0.88

Inscriptions

étiquettes annotées

Précisions inscriptions

étiquette s annotées, Revers : Deux étiquettes, de la main de M. Magnin : 'Nicolas-Guy Brenet 1728-1792. Episode tiré vraisemblablement de l'Arioste ou du Tasse : l'Orlando furioso ou la Gerusaleme liberata' et 'Ce tableau est un curieux specimen du style troubadour dont Guy Brenet est réputé l'initiateur. Moins caractéristique à cet égard et moins important que La Courtoisie du chevalier Bayard (Salon de 1783) il lui semble, d'autre part, assez sensiblement antérieur. On ne crée pas du premier coup un type complet comme le tableau de Grenoble ; entre eux se place sans doute l'éclatant et long succès de la pièce de Collé : Une partie de chasse de Henri IV, 1774'.

Source représentation

Ariosto Ludovico : Roland furieux

Statut juridique

propriété de l'Etat, legs, musée national Magnin

Date acquisition

1938

Ancienne appartenance

Magnin Maurice

Localisation

Bibliographie

J. Magnin, Musée Magnin. Peintures et dessins de l'école française, Dijon, 1938 (n° 106 (N.G. Brenet)) M. Sandoz, Nicolas-Guy Brenet 1728-1792, Paris, 1979 (p. 131, n° Z (attribution douteuse)) L. Starcky, Dijon musée Magnin. Les Peintures françaises, catalogue sommaire illustré, préface d'Emmanuel Starcky, avec la participation d'Hélène Isnard, Paris, 2000 (n° 61, p. 50 repr. (attribué à N.G. Brenet))