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Plateforme ouverte du patrimoine

Le Sanglier dit Il porcellino

Identification du bien culturel

N°Inventaire

RF 3729, 332

Domaine

Dénomination

Titre

Le Sanglier dit Il porcellino

Genre

masculin

Ecole-pays

France

Période de création

Matériaux - techniques

Mesures

H. en m 0,205 ; L. en m 0,278

Description

Album Parrocel Etienne, folio 322, dessiné au recto ; Album de 324 feuillets réunis dans une reliure de cuir brun, avec étiquette rapportée sur le plat supérieur avec le numéro :N° 80, inscrit à la plume et encre brune, et tous les versos de l'album portent la décharge du recto du folio suivant. La tranche à perdu la plus grande partie de la peau ornée de fers dorés qui la couvrait ainsi que les six nervures. Au début de l'album, quatre feuillets manuscrits à la plume et encre brune, sans numéro d'inventaire, cousus ensemble, avec titre :Table des desseins de J. Parrossel. Une feuille volante avec annotation manuscrite à la plume et encre noire, sans numéro d'inventaire, page de titre d'un catalogue de vente anglaise de 1904. ; Plume et encre brune, lavis brun, sur esquisse à la pierre noire. Numérotation en haut droite, à la plume et encre brune :62, et annotation en bas à gauche :alla Galleria del Granduca / a Firenze, (en partie déchiré)

Précisions sujet représenté

Tresham H. oeuvre en rapport, Subleyras Pierre oeuvre en rapport; Florence, Galleria degli Uffizi, oeuvre en rapport; Florence, Palazzo Pitti, oeuvre en rapport; Rome, Cour de Paolo Ponte, oeuvre en rapport; Rome; Vienne, Akademie der Bildenden Künste, oeuvre en rapport; Animal, sanglier; Il Porcellino; atelier de Pierre Subleyras

Contexte historique

Genèse

oeuvre en rapport

Informations juridiques

Statut juridique

propriété de l'Etat, achat, musée du Louvre département des Arts graphiques

Date acquisition

1908

Ancienne appartenance

Adolphus Frederick, duc de Cambridge ; Georg, duc de Cambridge ; Tresham ; Bryant, T. Hugh dernière provenance : Bryant, T. Hugh

Informations complémentaires

Commentaires

Déjà cité par Ulisse Aldovrandini (1556, p. 115-316) dans la cour de Paolo Ponte à Rome, cette sculpture - que son naturalisme rendit très célèbre - est citée à Florence, au Palazzo Pitti dès 1568, et à la Galleria degli Uffizi dès 1591, où elle est toujours conservée (Inv. 63 ; G.A. Mansuelli, Galleria degli Uffici, Sculture, Rome, 1958, I, p. 78, n° 50, fig. 50). La présente de cette copie dans cet album est surprenante parce qu'elle est la seule faite semble-t-il, d'après une oeuvre non conservée dans la collection romaine (voir cependant fol. 1, 2, 50 à 52). Mais des moulages ou réductions pouvaient se trouver à Rome comme le prouve la vue que Pierre Subleyras peignit de son atelier (Vienne, Akademie der Bildenden Kunste ; Michel et Rosenberg, 1987, repr. p. 27) : on y voit en effet un plâtre d'après Il Porcellino, accroché à la large corniche de cet atelier. (J.-F. Méjanès, Musée du Louvre, Cabinet des dessins - Inventaire Général des dessins français, Lettre P, Paris, R.M.N., 1997, n° 841, p. 203-204.) [Tresham, sa vente après décès, Londres, 15 juillet 1815 ?] - Adolphus Frederick (1774-1850), duc de Cambridge, fils du roi George III d'Angleterre (L. 118 au folio 2) - Georg, duc de Cambridge, son fils, sa vente, Londres, Sotheby's, 2 et 3 décembre 1904, n° 452 - T. Hugh Bryant, libraire de Londres ; achat par le Louvre en 1908 (L 1886).

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