Tête de Chérubin

N°Inventaire

RF 1333

Domaine

Dénomination

Titre

Tête de Chérubin

Auteur

Précision auteur

connu depuis 1540 ; Paris, 1590

Ecole-pays

France

Période de création

Millésime de création

1574 après

Matériaux - techniques

Mesures

H. 27 ; L. 20 ; Pr. 5

Genèse

Paris (lieu de provenance, église, tombeau), oeuvre en rapport

Historique

élément du monument funéraire de Valentine Balbiani (Chiari, 1518Paris, 1572), épouse de René de Birague (1506-1583) ; monument exécuté après un premier contrat passé entre René de Birague et le sculpteur le 29 avril 1573, complété par un marché du 7 avril 1574 ; placé dans la chapelle funéraire de Birague dans l'église Sainte-Catherine-du-Val-des-Ecoliers à Paris ; la disposition primitive est connue grâce à un dessin de la collection Gaignières ; élément transférés en 1783 dans l'église Saint-Louis-des-Jésuites à Paris (actuellement Saint-Paul-Saint-Louis) ; saisie révolutionnaire ; le musée du Louvre conserve d'autres éléments de ce monument : Valentine Balbiani morte : MR 1643, Valentine Balbiani accoudée : LP 397, Deux génies funéraires tenant des torches renversées : N 15128 et N 15129, Deux trophées funéraires : RF 1238 et RF 1239 et les armoiries de Valentine Balbiani et de René de Birague : RF 3345 et RF 3346

Utilisation / Destination

Découverte / collecte

Paris (lieu de provenance)

Statut juridique

propriété de l'Etat, musée du Louvre département des Sculptures, saisie révolutionnaire

Date acquisition

1902

Ancien dépôt

dépôt des Petits-Augustins; musée des Monuments français; Chantiers de Saint-Denis (1816 à1821)

Localisation

Commentaires

1783, transfert des éléments de ce monument à l'église Saint-Louis des-Jésuites ; entré au dépôt des Petits-Augustins le 27 avril 1794 à une date indéterminée ; musée des Monuments français de 1795 à 1816 ; placé à Sainte-Denis probablement entre 1816 et 1821 ; acquis en 1902, comité du 30 janvier, arrêté du 11 mars 1902

Bibliographie

cat. 1922, n°424 ; Beaulieu, 1978, n°211 ; cat. Sculpt. fr. t. II Ren. et Temps modernes, Paris, 1998, vol. 2, p. 528