RF 2625
Allégorie de la mort, connue sous le nom de : La Mort Saint Innocent
France
attribué à François Gentil par Alexandre Lenoir
1520 entre, 1530 et
H. 120 ; L. 55 ; Pr. 27
inscription (français)
sur le bouclier : IL N'EST VIVANT TANT SOIT PLEIN ART/NE DE FORCE POUR RESISTANCE/QUE JE NE FRAPPE DE MON DART [sic]/POUR BAILLER AU VERS LEUR PITANCE/PRIEZ DIEU POUR LES TREPASSES
Paris (lieu de provenance, cimetière)
placée dans une guérite de bois au centre du cimetière des Innocents à Paris ; après la suppression du cimetière le 1er décembre 1780, l'oeuvre fut déposée dans l'église Saint-Gervais en juin 1786 ; transportée à Notre Dame en 1788, bronzée et complétée par Louis Pierre Deseine (1749-1822), puis placée dans la chapelle d'Harcourt
Paris (lieu de provenance)
propriété de l'Etat, musée du Louvre département des Sculptures, saisie révolutionnaire
1866 entrée matérielle ; 1948 inscrit sur l'inventaire
dépôt des Petits-Augustins (en 1793); musée des Monuments français (de 1795 à 1816)
entrée au dépôt des Petits-Augustins en 1793, selon le témoignage tardif d'Alexandre Lenoir, mais indiquée sur l'Etat des monuments et des statues qui sont entrés au dépôt des Petis-Augustins pendant les années 1791-1792 ; musée des Monuments français, de 1795 à 1816 ; restée à l'Ecole des Beaux arts après la fermeture du musée des monuments français ; réclamée par Léon de Laborde pour les salles du Louvre le 25 novembre 1851 ; affectée au Louvre par arrêté du 29 janvier 1866 ; non portée sur l'inventaire à son entrée au Louvre ; inventoriée pour régularisation en 1948
Courajod, 1894 ; cat. 1897, n°153 (anonyme) ; cat. 1922, n°319 (id.) ; descr. 1950, (id.) ; cat. Sculpt. fr. t. II Ren. et Temps modernes, Paris, 1998, vol. II, p. 651 (id.)