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Plateforme ouverte du patrimoine

Salle des pas-perdus, gare Saint-Lazare, Paris, 1955 ; [Cabine téléphonique]

Sujet de la photographie

Localisation

Localisation

France, Île-de-France, Paris, Paris 8e Arrondissement

Code INSEE de la commune

75108

Identification

Édifice

Gare Saint-Lazare

Légende

Salle des pas-perdus, gare Saint-Lazare, Paris, 1955 ; [Cabine téléphonique]

Mots-clés

Gare ; Intérieur ; Groupe ; Homme ; Femme ; Chapeau ; Téléphone ; Conversation ; Trio

Références des documents reproduits

Cote de conservation du document reproduit

Album Willy Ronis n° 2

Auteur

Photographe ou dessinateur

Description de la photographie

Éléments d’identification

Catégorie de phototype

Tirage photographique

Numéro donné par le photographe

R4/2609 ; P4/2609

Numéro de versement

P/1991/35

Numéro du tirage

9135T000169

Lieu de conservation du tirage

Île-de-France ; Yvelines ; Montigny-le-Bretonneux ; Médiathèque du patrimoine et de la photographie (fort de Saint-Cyr)

Modalité d'entrée

Donation affectée à la MPP en 2016

Description technique du phototype

Format du négatif

24x36

Description technique du tirage

Tirage noir et blanc gélatino-argentique baryté ; Papier cartoline ; Montage en album

Format du tirage

17,5x25,1

Annotations présentes sur le tirage

[Légende et texte de l’album] 1955. Extrait d'un reportage exécuté en mars 1955 pour la revue « Arts ménagers ». Oublié le sujet. Il fallait une photographie – entre autres – sur un téléphone public. Celui-ci convenait, qui se trouvait dans la salle des pas-perdus de la gare Saint-Lazare. La femme était une rédactrice du journal, les hommes des acteurs involontaires. Cette photographie – à cause des hommes, si dissemblables et si typiques à la fois – servit (sans la femme) de couverture pour un roman d'espionnage de [Noël Behn] paru au Livre de poche. Je la classe par ailleurs dans la nombreuse collection, au hasard constituée, de mes images bâties (je ne m'en rends compte généralement qu'après coup) sur le chiffre trois. Tirage assez difficile. La pellicule que j'employais alors, la Ferrania 32, était très sensible mais avait une fâcheuse tendance à fortement monter en contraste. Cadrage complet. [Mention au dos du tirage] 169 ; P4/2609

Orientation du phototype

H

Datation et événements liés à l’image

Date de prise de vue

1955.03

Référence de publication de l'image

« Ronis Willy », Paris, Bibliothèque nationale, 1968 : EP-35 (1)-FOL, album tome I, Paris ; Willy Ronis, Daniel Karlin, « Paris, éternellement », Paris, Hoëbeke, 2005 et 2014, p. 56 ; Françoise Denoyelle, « Le Siècle de Willy Ronis », Paris, Terre bleue, 2012, p. 279 ; « Paris Ronis », Paris, Flammarion, 2018, p. 48-49 ; Willy Ronis, Matthieu Rivallin, Ronan Guinée, « Willy Ronis par Willy Ronis, Le regard inédit du photographe sur son œuvre », Paris, Flammarion, 2018, p. 11 et n. p.

Observations

Reportage commandé par « Arts ménagers » ; Dans le texte des albums, Willy Ronis mentionne l'emploi de la pellicule « Ferrania 32 ». Le film Ferrania S2 a une sensibilité de 32 DIN, soit 1280 ISO

Observations sur le tirage

Tirage de référence

Salle des pas-perdus, gare Saint-Lazare, Paris, 1955 ; [Cabine téléphonique]