Église paroissiale Saint-Quirin

Dénomination de l'édifice

Église paroissiale

Vocable - pour les édifices cultuels

Saint-Quirin

Titre courant

Église paroissiale Saint-Quirin

Localisation

Occitanie ; 46 ; Lavercantière

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Lot

Canton

Salviac

Références cadastrales

2010 B01 990

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En village

Partie constituante non étudiée

Réduit

Siècle de la campagne principale de construction

Limite 13e siècle 14e siècle ; 15e siècle (?) ; milieu 18e siècle

Année(s) de(s) campagne(s) de construction

1305 ; 1755

Commentaires concernant la datation

Porte la date

Auteur de l'édifice

Commentaires concernant l'attribution de l'édifice

Attribution par source

Description historique

La date de 1305 portée sur les deux enfeus sud peut sans doute être retenue pour la datation des parties les plus anciennes conservées, dont font partie au moins le mur sud de la nef et le portail nord. L'église a été en grande partie reconstruite ou remaniée à plusieurs reprises. La tour-clocher n'est probablement pas antérieure au 15e siècle. En 1751, l'église entière menace ruine et les paroissiens décident de faire d'importantes réparations. Les travaux sont confiés à un maçon limousin, Germain Roffignac, d'Argentat, et exécutés en 1755 sous la direction de l'ingénieur de la province : l'église sera entièrement voûtée et un arc sera établi pour porter le clocher, les murs de la nef seront contrebutés par six contreforts et une nouvelle porte sera réalisée dans la façade (elle est en effet datée de 1755) (J. Lartigaut, op. cit.).

Matériaux du gros-œuvre

Calcaire ; pierre de taille ; moellon ; enduit

Matériaux de la couverture

Ardoise ; tuile plate

Typologie de plan

Plan en croix latine

Description de l'élévation intérieure

1 vaisseau

Typologie du couvrement

Cul-de-four ; voûte d'arêtes

Typologie de couverture

Toit à longs pans ; toit à deux pans ; croupe ronde ; croupe

Commentaire descriptif de l'édifice

L'enduit qui masque les maçonneries empêche une analyse un peu précise de l'église, dont les volumes surprennent. La pierre de taille identifie, quand elle est visible, l'état le plus ancien, auquel appartiennent les enfeus de l'élévation sud de la nef, qui présentent un intérêt majeur en raison de leurs inscriptions. L'escalier en vis ajouté au sud et l'aspect massif de la tour-clocher laissent penser que les parties hautes de l'église ont pu servir de refuge. Transcription des inscriptions des enfeus. Gauche : Istud sepulcru(m) fecit fieri Ar(naldus) de Ma.maran cujus ad eius sepulturam et suorum die ... abat. (une ligne non lue) ... R . S Anno D(omi)ni M° CCC° quinto. Droit : Istud sepulc(r)um fecit fieri Geraldus Jaudo clericus Anno D(omi)ni M° CCC° quinto.

Référence aux objets conservés

IM46000826

Intérêt de l'édifice

À signaler

Statut juridique du propriétaire

Propriété de la commune

Date de l'enquête ou du dernier récolement

2006

Copyright de la notice

(c) Inventaire général Région Occitanie ; (c) Conseil départemental du Lot

Date de rédaction de la notice

2010

Noms des rédacteurs de la notice et du dossier

Séraphin Gilles ; Scellès Maurice

Cadre de l'étude

Typologie du dossier

Dossier individuel

Adresse du dossier Inventaire

Conseil régional Occitanie - Direction de la Culture et du Patrimoine - Service Connaissance et Inventaire des Patrimoines 22, bd Maréchal Juin 31406 Toulouse cedex 9 - Espace Capdeville, 417 Rue Samuel Morse, 34000 Montpellier - 05.61.39.62.47