Pont
Pont des Arméniers ou des Arméniens
Provence-Alpes-Côte d'Azur ; Vaucluse (84) ; Sorgues
Non cadastré
Rhône (le)
2e quart 20e siècle
1925
Suite à la demande de construction d'un pont par les habitants de l'île de l'Oiselet en 1922, le projet de l'ingénieur Backes est retenu pour la partie métallique et celui de Bourelly pour les maçonneries. Commencés en 1925, les travaux s'achèvent en 1926. L'ouvrage consiste en une passerelle suspendue semi-rigide à une seule travée de 157, 50 mètres de portée entre le parement des culées. Le tablier, à profil longitudinal parabolique, est supporté par des poutrelles métalliques retenues par trois fils de longerons. La chaussée, en madriers de chêne boulonnés, est revêtue d'un platelage jointif en planches de sapin. Devenu obsolète, le pont est interdit à la circulation et remplacé par une chaussée empierrée.
Inscrit MH
2001/11/05 : inscrit MH
Le pont suspendu situé sur le bras du Rhône dit bras des Arméniers en totalité, y compris les rampes d'accès et les massifs d'ancrage des câbles (cad. non cadastré, à la limite des sections AH, EI et ER) : inscription par arrêté du 5 novembre 2001
Arrêté
À signaler
Propriété de la commune
(c) Monuments historiques. Cette notice reprend intégralement les termes de l’arrêté de protection au titre des Monuments historiques. Elle répond à l’obligation réglementaire du ministère de la Culture d’établir la liste générale des édifices protégés (art. R. 621-80 du Code du patrimoine). Elle est donc opposable et fait foi juridiquement. Aucune copie numérique ou papier ne sera fournie par courrier ni courriel. Le dossier de protection complet et l’arrêté sont consultables uniquement sur place, dans la salle de lecture de la Médiathèque du patrimoine et de la photographie (MPP), à Charenton-le-Pont (Val-de-Marne).
2001
Dossier de protection