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Plateforme ouverte du patrimoine

Synagogue

Désignation

Dénomination de l'édifice

Synagogue

Titre courant

Synagogue

Localisation

Localisation

Île-de-France ; Val-de-Marne (94) ; Vincennes ; 30 rue Céline-Robert

Adresse de l'édifice

Céline-Robert (rue) 30

Références cadastrales

2014 S 01 25

Historique

Siècle de la campagne principale de construction

1er quart 20e siècle

Siècle de campagne secondaire de consctruction

1er quart 21e siècle

Année(s) de(s) campagne(s) de construction

1907 ; 2005

Commentaires concernant la datation

Datation par source

Commentaires concernant l'attribution de l'édifice

Attribution par source

Personnalités liées à l'histoire de l'édifice

Iffla Daniel, dit Osiris (donateur)

Description

Matériaux du gros-œuvre

Meulière ; moellon ; calcaire ; pierre de taille ; brique

Matériaux de la couverture

Béton en couverture

Typologie de plan

Plan massé

Description de l'élévation intérieure

1 vaisseau ; sous-sol ; étage de comble

Partie d'élévation extérieure

Élévation à travées

Typologie de couverture

Terrasse

Emplacement, forme et structure de l’escalier

Escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour

Commentaire descriptif de l'édifice

La communauté juive ashkénaze de Saint-Mandé et de Vincennes, composée en majorité d'Alsaciens et de familles d'Europe centrale, est créé officiellement par le consistoire en 1901. La construction de la synagogue, qui débute en 1903, est financée par Daniel Iffla, dit Osiris, qui fait appel à Victor Tondu, architecte qui édifie aussi pour lui sur le même modèle la synagogue de Tours. Le lieu de culte est implanté en retrait d'une petite cour, accueillant également le logement du rabbin sur le côté gauche. Ce dernier bâtiment de deux étages est construit à la manière d'un pavillon de banlieue en brique et meulière. La synagogue de volume similaire, à la façade en pierre de taille, se signale par un porche à arc de plein cintre placé dans la travée gauche de l'édifice. Il est surmonté d'un pignon sculpté couronné des tables de la Loi, qui se détache de la balustrade bordant le toit-terrasse. L'intérieur agencé selon la tradition ashkénaze avec la Bimah devant l'arche sainte, est revêtu de boiseries. L'étage réservé aux femmes est entouré d'une balustrade. Le sol est orné d'une mosaïque reprenant le symbole de l'étoile de David. En 2005, une salle de culte de rite séfarade a été ajoutée dans la cour par l'architecte Jacques Amsallem, qui a unifié l'ensemble en répétant la même modénature.

Technique du décor des immeubles par nature

Sculpture ; mosaïque

Indexation iconographique normalisée

Les Tables de la Loi ; étoile de David

Protection et label

Intérêt de l'édifice

À signaler

Date de label

2011/11/24 : label patrimoine du XXe siècle

Statut juridique

Statut juridique du propriétaire

Propriété d'une association cultuelle

Références documentaires

Date de l'enquête ou du dernier récolement

2014

Date de rédaction de la notice

2014

Noms des rédacteurs de la notice et du dossier

Préault Clémence

Typologie du dossier

Dossier individuel

Accès Mémoire

LABELXX-IDF