Laminoir ; fonderie ; centrale thermique
Laminoir S.A. des Forges de Froncles et de Vraincourt, puis S.A. des Forges de Froncles
Chaudronnerie ; tréfilerie ; scierie
Laminoir, Fonderie, Centrale Thermique dit Laminoir S.A. des Forges de Froncles et de Vraincourt, puis S.A. des Forges de Froncles
Grand Est ; Haute-Marne (52) ; Froncles ; rue de l'Usine
Anciennement région de : Champagne-Ardenne
Vignory
Usine (rue de l')
1828 D 219 A 225 ; 1988 AC 52, 53, 58, 93, 214 A 223, 352 A 355, AB 240 A 302, 746 A 759, 850 A 859
En ville
Marne (la)
Bureau d'entreprise ; chaufferie ; atelier de fabrication ; logement de contremaître ; corps de garde ; logement patronal ; logement d'ouvriers ; cité ouvrière ; infirmerie ; voie ferrée ; enclos ; magasin industriel ; école ; passerelle ; magasin de commerce ; parc
2e moitié 19e siècle ; 1er quart 20e siècle
1921
Daté par source ; daté par travaux historiques ; porte la date
Forge établie vers 1757 qui produit de la tôle ; de Bonnecaze est propriétaire en 1834 et son fils provoque le premier grand développement à partir de 1858 ; usine raccordée au chemin de fer en 1862 ; de Valsuzemay est propriétaire en 1870 et obtient un port sur le canal en 1881 ; la forge produit de la fonte, des tôles, des fils de fer et comporte une scierie ; second grand développement après 1918 avec agrandissement vers le sud-est et création d'une centrale produisant de l'électricité qui est abandonnée en 1948, logement patronal restauré en 1921, date portée, et abandon d'une architecture austère, les logements d'ouvriers bâtis après la première guerre mondiale tranchent également par une certaine fantaisie sur les logements du siècle précédent (fig. 23) ; activité principale de la S.A. des forges de Froncles actuellement : le laminage. Forge composée en 1860 de 4 foyers d'affinerie, 1 haut fourneau, 1 bocard et 1 patouillet, 2 fours à puddler à la houille, 1 four à réverbère de chaufferie pour l'étirage du fer à la houille, 2 fours dormants pour fabrication de la tôle à la houille ; combustible végétal abandonné en 1864 ; abandon de la chaudronnerie après 1918. 1814 : 12 ouvriers, 1834 : 23 ouvriers ; grève en 1859 ; 1872 : 150 ouvriers, 1884 : 250 ouvriers dont 207 pour la forge et la tôlerie, 35 pour la chaudronnerie, 8 pour la fonderie ; environ 900 ouvriers en 1939 et 670 en 1947
Pierre ; moellon ; moellon sans chaîne en pierre de taille ; enduit ; brique ; brique creuse ; pan de fer ; essentage de tôle ; bois ; essentage de planches
Tuile mécanique ; ardoise ; ciment amiante en couverture
1 étage carré ; étage de comble
Élévation ordonnancée
Toit à longs pans ; toit bombé ; appentis ; toit en pavillon ; lanterneau
Énergie hydraulique ; énergie thermique ; énergie électrique
Site industriel desservi par voie navigable, mbranchement ferroviaire, voie particulière ; logement patronal (e) un étage carré, un étage de comble (doc 11) ; magasin de commerce (n) (boulangerie) un étage carré, un étage de comble, abritait un atelier de couture sous les combles
Rectangulaire,arc segmentaire,oculus,arc plein-cintre
Restauré
Propriété privée
1989
© Inventaire général
1990
Alves Dos Santos Gilles
Dossier individuel
Patrimoine industriel
Conseil régional de Champagne-Ardenne - Service chargé de l'inventaire 3, rue du Faubourg Saint-Antoine 51037 Châlons-en-Champagne - 03.26.70.36.81