Scierie (caisserie) des Ets Courbin.

Dénomination de l'édifice

Scierie

Précision sur la dénomination de l'édifice - hors lexique

Caisserie

Appellation d'usage

Scierie des Ets Courbin

Titre courant

Scierie (caisserie) des Ets Courbin.

Localisation

Nouvelle-Aquitaine ; Gironde (33) ; Salles ; R.D. 3

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Gironde

Canton

Belin-Béliet

Adresse de l'édifice

R.D. 3

Références cadastrales

1989 E 14, 21, 81, 351 A 357, 1635

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En village

Partie constituante non étudiée

Logement patronal ; bureau d'entreprise ; atelier de fabrication ; bains douches ; logement d'ouvriers ; aire des matières premières ; hangar industriel ; magasin industriel ; transformateur (abri)

Siècle de la campagne principale de construction

4e quart 19e siècle ; 1er quart 20e siècle ; 3e quart 20e siècle ; 4e quart 20e siècle

Année(s) de(s) campagne(s) de construction

1890 ; 1920 ; 1956 ; 1957 ; 1985

Commentaires concernant la datation

Daté par tradition orale

Auteur de l'édifice

Personnalités liées à l'histoire de l'édifice

Gillet (matériel de travail du bois)

Description historique

Une exploitation forestière et une scierie ambulante sont créées en 1890. Des ateliers sont construits puis agrandis en 1920 pour abriter une caisserie produisant des emballages de denrées alimentaires. Reconstruite après un incendie en 1956, agrandie en 1957, puis en 1985, l'usine expédie sa production en France et dans la C.E.E.. 1 machine à vapeur fonctionna jusqu'en 1956. Les machines de scierie : scies, raboteuses et bouveteuses, sont récentes et l'ensemble des manipulations est automatisé. Il reste des métiers à scier, non utilisés, de marque : Gillet, Casteljaloux datant de 1945, et des rotatives pour l'impression sur caisses, avec leurs clichés en bronze. En 1960 il y avait 120 ouvriers. Les effectifs sont réduits à 90 personnes en 1975, car l'achat d'une écorceuse automatique a supprimé de nombreux postes d'ouvriers forestiers. 50 salariés en 1989 : toute la chaîne du sciage est automatisée ainsi que le clouage et le collage de la production. Il y a 3 logements d'ouvriers.

Matériaux du gros-œuvre

Calcaire ; pierre ; brique ; enduit ; bois ; matériau synthétique en gros oeuvre

Matériaux de la couverture

Tuile mécanique ; tuile creuse ; ciment amiante en couverture

Description de l'élévation intérieure

1 étage carré

Typologie de couverture

Toit à longs pans ; pignon couvert ; toit en pavillon

Source de l'énergie utilisée par l'édifice

Énergie thermique ; produite sur place ; énergie électrique ; achetée

Commentaire descriptif de l'édifice

Logement patronal : 1 étage carré en pierre, enduit et tuile creuse. Bureaux : pierre, enduit, toit en pavillon en tuile mécanique. 4 ateliers de fabrication, les 2 scieries sont en brique avec toit à longs pans en ciment amiante, éclairage zénithal et baies rectangulaires, l'atelier d'impression est en bois et tuile mécanique en couverture, le 4e atelier de fabrication est en brique avec ciment amiante en couverture. Logements d'ouvriers : matériaux synthétiques en gros oeuvre et ciment amiante en couverture. Bains douches en brique, enduit et bois. Hangar industriel en bois. Magasin industriel en brique couvert en tuile mécanique. Surface bâtie en m2 : 2000.

Commentaires d'usage régional

Baie rectangulaire

Eléments remarquables dans l'édifice

Machine de production

Statut juridique du propriétaire

Propriété privée

Date de l'enquête ou du dernier récolement

1989

Copyright de la notice

(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel

Date de rédaction de la notice

1989

Noms des rédacteurs de la notice et du dossier

Kabouche Marie

Cadre de l'étude

Typologie du dossier

Dossier individuel

Accès Mémoire

Patrimoine industriel

Adresse du dossier Inventaire

Région Nouvelle-Aquitaine - Service du Patrimoine et de l’Inventaire, site de Bordeaux - 5, place Jean-Jaurès 33000 Bordeaux - 05 57 57 72 37