POP

Plateforme ouverte du patrimoine

Usine de construction métallique Boyer Frères, puis Sté Générale de Construction Métallique, puis Sté Saint-Quentinoise, actuellement Ets Létoile.

Désignation

Dénomination de l'édifice

Usine de construction métallique

Appellation d'usage

Usine de construction métallique Boyer Frères, puis Sté Générale de Construction Métallique, puis Sté Saint-Quentinoise, actuellement Ets Létoile

Titre courant

Usine de construction métallique Boyer Frères, puis Sté Générale de Construction Métallique, puis Sté Saint-Quentinoise, actuellement Ets Létoile.

Localisation

Localisation

Nouvelle-Aquitaine ; Gironde (33) ; Talence ; 80 avenue Paul Bert

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Gironde

Canton

Talence

Adresse de l'édifice

Paul Bert (avenue) 80

Références cadastrales

1991 AO 633

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En ville

Partie constituante non étudiée

Atelier de fabrication ; atelier de réparation ; bureau d'entreprise ; voie ferrée

Historique

Siècle de la campagne principale de construction

1er quart 20e siècle ; 3e quart 20e siècle

Année(s) de(s) campagne(s) de construction

1907 ; 1951

Commentaires concernant la datation

Daté par travaux historiques ; daté par tradition orale

Auteur de l'édifice

Description historique

Cette usine fut construite en 1907 pour la Sté Boyer frères créée à Bordeaux en 1893. En 1918, la société fusionne avec l'usine de la Médoquine, située de l'autre côté de la voie ferrée, pour former la Sté Générale de Construction Métallique. Cette entreprise, de réputation nationale, a exécuté entre autres, les charpentes métalliques des gares de Bordeaux et de la Rochelle, ainsi que de nombreux ponts dans les pays d'Outre-Mer. En 1951, un accord est passé avec la Sté Saint-Quentinoise (08). Les bâtiments sont alors rénovés. En 1959, cette dernière société absorbe totalement la société Boyer. L'activité s'y maintient jusqu'en 1975. Désaffectée, l'usine est rachetée en 1988 par les Ets Létoile qui exercent la même activité. En 1914, 2 000 tonnes d'aciers ouvrés sortent des ateliers. En 1951, la production est doublée : le fer en barres provient de Moselle et leur manutention dans l'usine est facilitée par des ponts roulants, un palan de 10 tonnes (encore en place) , des voies ferrées particulières et des voies Decauville.

Description

Matériaux du gros-œuvre

Métal ; pan de fer ; brique ; bois ; essentage de planches ; calcaire ; pierre de taille

Matériaux de la couverture

Tuile mécanique ; ciment amiante en couverture ; verre en couverture

Description de l'élévation intérieure

En rez-de-chaussée

Typologie de couverture

Toit à longs pans ; croupe ; shed

Source de l'énergie utilisée par l'édifice

Énergie thermique ; produite sur place ; énergie électrique ; achetée

Commentaire descriptif de l'édifice

Site industriel desservi par embranchement ferroviaire. Ateliers de fabrication en pan de fer et brique avec essentage de planches sur les pignons, toit à longs pans en verre et ciment amiante ou shed en ciment amiante. Atelier de réparation en pan de fer et brique avec toit à longs pans en tuile mécanique. Bureau en pierre de taille avec toit à longs pans et croupes en tuile mécanique. (Visite refusée). Surface bâtie en m2 : 6780.

Commentaires d'usage régional

Baie rectangulaire

Statut juridique

Statut juridique du propriétaire

Propriété privée

Références documentaires

Date de l'enquête ou du dernier récolement

1991

Date de rédaction de la notice

1991

Noms des rédacteurs de la notice et du dossier

Kabouche Marie

Typologie du dossier

Dossier individuel

Accès Mémoire

Patrimoine industriel

Adresse du dossier Inventaire

Région Nouvelle-Aquitaine - Service du Patrimoine et de l’Inventaire, site de Bordeaux - 5, place Jean-Jaurès 33000 Bordeaux - 05 57 57 72 37