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Plateforme ouverte du patrimoine

Maison de villégiature dite Le Samaritain

Désignation

Dénomination de l'édifice

Maison

Précision sur la dénomination de l'édifice - hors lexique

Maison de villégiature

Appellation d'usage

Le Samaritain

Titre courant

Maison de villégiature dite Le Samaritain

Localisation

Localisation

Normandie ; Calvados (14) ; Deauville ; 3 rue Edmond Blanc

Précision sur la localisation

Anciennement région de : Basse-Normandie

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Deauville

Canton

Trouville-sur-Mer

Adresse de l'édifice

Edmond Blanc (rue) 3

Références cadastrales

1984 AE 104, 105

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En ville

Partie constituante non étudiée

Jardin ; enclos ; portail ; communs

Nom de l'édifice

Lotissement Edmond Blanc

Références de l'édifice de conservation

IA14003132

Historique

Siècle de la campagne principale de construction

Limite 19e siècle 20e siècle

Commentaires concernant la datation

Daté par source

Auteur de l'édifice

Commentaires concernant l'attribution de l'édifice

Attribution par travaux historiques

Description historique

Œuvre de l'architecte Léon Berthault, la villa Le Samaritain est édifiée entre 1895 (date de la destruction du premier casino de Deauville) et 1904 (date du "Plan de Trouville-Deauville" dressé par Charles Normand sur lequel elle figure). Ses communs sont construits au cours de la seconde moitié du 20e siècle. Les nombreux épis de faîtage qui ornaient le toit ont disparu.

Description

Matériaux du gros-œuvre

Moellon ; calcaire ; brique

Matériaux de la couverture

Ardoise ; zinc en couverture

Description de l'élévation intérieure

Sous-sol ; rez-de-chaussée surélevé ; 1 étage carré ; étage de comble

Partie d'élévation extérieure

Élévation à travées

Typologie de couverture

Toit à longs pans ; toit en pavillon ; pignon couvert

Emplacement, forme et structure de l’escalier

Escalier dans-oeuvre

Commentaire descriptif de l'édifice

La villa Le Samaritain est implantée sur une parcelle rectangulaire. Le jardin, qui se développe au nord-est, est délimité par un solin en moellons de calcaire surmonté d'une grille en bois qui n'est d'origine. Les communs sont aménagés dans l'angle ouest de la parcelle. De plan rectangulaire avec de nombreux décrochements, la villa comprend un rez-de-chaussée surélevé sur sous-sol, un étage carré et un étage de comble. Son toit à longs pans est couvert en ardoise et en zinc. Le gros-œuvre est en moellon de calcaire. La façade principale nord-est, à deux travées, est de composition binaire (pignon à ferme débordante et mur gouttereau en décrochement). L'angle Est est animé par l'auvent protégeant le perron et surmonté de deux oriels superposés coiffés par un toit en pavillon. Rehaussées par la brique, les baies sont hiérarchisées selon les niveaux d'élévation : en anse de panier au rez-de-chaussée, à arc segmentaire au premier étage, cintrées à l'étage de comble. Cette demeure arbore un aspect rustique (gros-œuvre apparent en moellons de calcaire) , que renforcent de nombreux éléments en bois (garde-corps des balcons, porte-fleurs et oriel).

Commentaires d'usage régional

Villa en milieu de parcelle,parcelle rectangulaire,style rustique,éléments saillants (auvent, oriel, balcons)

État de conservation (normalisé)

Bon état

Statut juridique

Statut juridique du propriétaire

Propriété privée

Références documentaires

Date de l'enquête ou du dernier récolement

1998

Date de rédaction de la notice

2004

Noms des rédacteurs de la notice et du dossier

Tournoux Marie-Noël ; Hébert Didier

Typologie du dossier

Sous-dossier

Adresse du dossier Inventaire

Région Basse-Normandie - Direction de l'Inventaire général du patrimoine culturel Abbaye aux Dames - Place Reine Mathilde BP 523 - 14035 Caen Cedex - 02.31.06.97.33