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Plateforme ouverte du patrimoine

Demeure dite le logis de la Fond

Désignation

Dénomination de l'édifice

Demeure

Titre courant

Demeure dite le logis de la Fond

Localisation

Localisation

Nouvelle-Aquitaine ; Charente-Maritime (17) ; Talmont-sur-Gironde ; de la Fond (rue) 8

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Estuaire de la Gironde

Lieu-dit

Caillaud (le)

Adresse de l'édifice

De la Fond (rue) 8

Références cadastrales

2009 B 801 ; 1833 B 196

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En village

Partie constituante non étudiée

Cour ; parc ; remise

Historique

Siècle de la campagne principale de construction

18e siècle ; 1er quart 20e siècle

Année(s) de(s) campagne(s) de construction

1908

Commentaires concernant la datation

Daté par source

Description historique

Le logis de la Fond figure pour la première fois au début du 18e siècle sur un plan de Talmont établi par l'ingénieur du roi Claude Masse. Comme sur le plan cadastral de 1831, on y voit un corps de bâtiment de plan carré, côté ouest (sans aller jusqu'à la rue), prolongé à l'est par une aile au fond d'une cour, puis par un retour à l'est de cette cour. Le plan de 1831 mentionne aussi un puits sous un auvent, dans l'angle formé par le corps principal et par l'aile, ainsi qu'un jardin à l'est des bâtiments, délimité par une haie.Au milieu du 18e siècle, la Fond appartient à un capitaine de navires, Jacques Thomas (décédé avant 1771) et à son épouse, Jeanne Gravaud. Leur fille, Marie-Thérèse Thomas (1755-1834), mariée en 1774 Jean Cyprien Bibard (1748-1806), notaire à Mortagne-sur-Gironde, en hérite par un acte de partage de 1775. Un demi siècle plus tard, le 6 février 1820, elle vend la propriété héritée de ses parents, pour 2000 francs, à Jean-Louis Dutrieu, propriétaire à Talmont.En 1833, selon le cadastre, la Fond appartient à Guillaume Pairaudaux, né en 1763 à Rochefort, capitaine de navire, officier de la marine royale, marié à Marie Dutrieux, Maire de Talmont à partir de 1835, il décède en son logis de la Fond le 22 octobre 1838 ; son épouse le suit dans la tombe le 2 décembre. Après leur mort, la propriété passe à Joseph Gouineau (1785-1878), cordonnier, qui y décède, puis à son fils, Frédéric Gouineau. Un temps maire de Talmont, ce dernier finit à son tour sa vie à la Fond en 1892. Il laisse pour héritières ses soeurs, l'une mariée à Edouard Lucazeau, charpentier de navires à Mortagne, et l'autre à Paul Seugnet, boulanger à Meschers.En 1904, les héritières Gouineau vendent la Fond pour 4000 francs à Mme Renée Gandolphe de Neuville, poétesse (elle sera l'auteur de recueils de poèmes asiatiques dans les années 1930), demeurant à Paris. L'acte de vente mentionne la propriété telle qu'elle se présente alors, dans le même état que lors de la vente de 1820, c'est-à-dire une simple "maison d'habitation et ses dépendances, le tout comprenant deux chambres et une cuisine, un corridor et un chai, avec grenier sur le tout, une écurie, un hangar, des cabinets d'aisance, des toits et un autre chai, un jardin devant, un petit terrain longeant les murs levant de l'écurie" (celle-ci occupe donc le retour à l'est de la cour, visible sur le plan de 1831).Mariée une première fois à Cognac, Renée Gandolphe de Neuville se remarie vers 1905 avec Alexandre Pellisson, négociant à Cognac, maire de Talmont de 1908 à 1912. A partir de 1908, selon le cadastre, ils font reconstruire le logis de la Fond. Dès lors, le nombre d'ouvertures du logis déclarées au cadastre passe de sept à vingt. De l'ancienne bâtisse, on conserve l'aile en fond de cour, qui présente encore aujourd'hui des éléments antérieurs à la Révolution (porte basse à encadrement chanfreiné), et peut-être aussi les murs du logis, à l'exception de la façade. L'opération consiste à apporter, en remplois ou en construction ex-nihilo par imitation, des éléments architecturaux de style éclectique et néo-Renaissance, à la mode à la fin du 19e siècle. Les tours et la façade du logis naissent de ce réaménagement, ainsi que le pigeonnier fictif élevé à l'extrémité de l'ancienne écurie, à l'est de la cour.La nouvelle architecture du logis n'est pas sans rappeler celle de certains bâtiments de la Maison Pellisson, situés avenue du Maréchal-Leclerc et place de la Gare, à Cognac, construits dans les années 1880-1898 par l'architecte parisien Antoine-Jules Lisch. On peut déceler une autre parenté stylistique, plus forte encore, avec le château de Bourg-Charente, près de Jarnac, qu'Alexandre Pellisson a détenu et habité de 1900 environ à 1921. On retrouve par exemple à la Fond le même type de souche de cheminée, d'appui de fenêtre soutenu par des consoles, de linteau brisé (sur la tour sud-est) et de linteau de fenêtre saillant et orné d'un mascaron, que sur l'aile nord et le pavillon carré du château de Bourg-Charente (pavillon reconstruit à la fin du 19e siècle), où ces éléments étaient eux-mêmes repris ou inspirés du château de Bouteville (Charente).Pendant l'Entre-deux-guerres, Alexandre Pellisson et Renée Gandolphe de Neuville habite à Arcachon, allée Velpeau. Veuve, la poétesse vend la Fond, pour 80.000 francs, le 29 mai 1942 (acte passé devant Me Daron, notaire à Cozes) à Raymonde Masse, épouse de Pierre Renard, entrepreneur de matériaux de construction à Royan. Renard commence à réaménager le château mais la guerre ne lui laisse le temps que d'entamer sa démolition. Le 13 mai 1947 (devant Me Fermigier, notaire à Meschers), Raymonde Masse revend la propriété pour 300.000 francs à Paul Louis Fourcat, cidrier, demeurant à La Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine). Ce dernier la cède dès le 26 août 1950 (acte devant Me Fermigier) à Pierre Lardin, artiste-décorateur, directeur de l'école des Beaux-Arts de Bordeaux dans les années 1950-1960. Au moment de la seconde vente, la propriété est en mauvais état : l'acte décrit "un vieux château, en partie effondré", composé "d'un rez-de-chaussée divisé en six pièces", avec "pigeonnier au levant".Pierre Lardin entreprend alors la restauration du logis et apporte à son tour des éléments de décoration : trouvée démontée dans le jardin, la cheminée Renaissance est installée dans le pavillon ouest (peut-être Pellisson l'avait-il amenée de Bourg-Charente, voire de Bouteville ?) ; le sol du logis est carrelé de pierres lithographiées ; la cage d'escalier est décorée de pavés de verre récupérés du paquebot Normandie. En 1978, la Fond est acheté par M. et Mme Emile Lardennois, actuels propriétaires. Le logis est agrandi d'un toit en terrasse au début des années 1980.

Description

Matériaux du gros-œuvre

Calcaire ; moellon ; enduit

Matériaux de la couverture

Tuile creuse ; tuile plate

Description de l'élévation intérieure

1 étage carré

Typologie de couverture

Terrasse toit à longs pans brisés croupe ; toit à l'impériale ; toit conique

Commentaire descriptif de l'édifice

Le logis de la Fond est situé au nord et en contrebas du hameau du Caillaud, près de la fontaine qui a donné son nom au site. Délimitée par un mur de clôture, la propriété comprend un jardin, au sud, et un parc, à l'est et au nord. Le logis s'élève à l'ouest. Il est prolongé vers l'est par une aile de remises, au nord d'une cour, puis par une ancienne écurie en retour d'équerre à l'est de cette cour. Un pigeonnier fictif, couvert d'un toit à l'impériale et surmonté d'une girouette, s'élève à l'extrémité de cette ancienne écurie. Il ouvre par des baies en plein cintre, et est entouré par un bandeau mouluré. A l'étage se trouve une double baie en plein cintre, avec une corniche à consoles. L'aile de remises au nord de la cour présente une porte basse à encadrement chanfreiné, une baie à linteau en arc segmentaire, à gauche, et, à droite, une autre baie dont le linteau en arc surbaissé est sans doute un remploi.Le logis est constitué d'un corps principal de bâtiment auquel sont accolés à l'ouest un pavillon de plan rectangulaire, une tour ronde dans l'angle sud-est, et une autre tour ronde au nord. Le pavillon ouest, en pierre de taille, est couvert d'un haut toit à croupes et à égout retroussé, en tuile plate, surmonté d'épis en zinc et souligné d'une imposante corniche à modillons. Sa façade sud présente une travée d'ouvertures, ainsi constituée : au rez-de-chaussée, une porte-fenêtre en arc surbaissé, ornée d'un larmier ; à l'étage, une haute fenêtre à encadrement saillant, mascaron, et appui mouluré à consoles. L'angle sud-est du pavillon est en échauguette.La tour sud-est, dite "tour Renaissance", est coiffée d'un toit en poivrière et à égout retroussé, en tuile plate, surmonté d'un épi en zinc, et souligné par une corniche. La tour, elle aussi en pierre de taille, présente au sud une première travée d'ouvertures, formée de deux fenêtres et surmontée d'un fronton. La fenêtre du rez-de-chaussée possède un simple encadrement saillant, à quoi s'ajoute, pour la fenêtre de l'étage, un appui mouluré à consoles, une clé de linteau saillante et un mascaron. Le fronton est cintré et brisé. Ses deux volutes encadrent un amortissement. Côté est, la tour présente une autre travée d'ouvertures, traitée de la même façon que la précédente, à l'exception du fronton qui est ici remplacé par une haute souche de cheminée en pierre de taille, terminée par un fronton cintré.Entre le pavillon ouest et la tour sud-est, la façade du logis se présente sous un pan brisé du toit. Le brisis est en tuile plate, et le terrasson en tuile creuse. La façade se caractérise par la symétrie créée par la répartition des ouvertures, soit cinq baies au rez-de-chaussée, dont la porte centrale, et trois fenêtres passantes à l'étage. Les baies du rez-de-chaussée ont un encadrement et une clé de linteau saillants. La porte possède en plus un linteau en arc segmentaire. A l'origine, comme le montre une carte postale vers 1920, il s'agissait d'une porte basse en arc segmentaire, surmontée d'un oeil-de-boeuf et d'une corniche. Les trois fenêtres passantes ont en commun un fronton, une clé de linteau saillante et un appui mouluré à consoles. La clé de linteau de la fenêtre centrale porte en plus un mascaron. Des pierres de taille dont l'origine et l'usage restent indéterminés, dépassent du mur de la façade.A l'arrière du logis, au nord, la seconde tour ronde est traitée de manière plus sobre que la première. Elle est aussi coiffée d'un toit en poivrière, en tuile plate, surmonté d'un épi en zinc. La partie supérieure de la tour, percée de meurtrières, présente un diamètre plus important que la partie inférieure.A l'intérieur du logis, on observe une cheminée du 18e siècle dans la pièce à droite, une autre d'époque Renaissance au rez-de-chaussée du pavillon ouest, et une troisième, en marbre, de la fin du 19e siècle, à l'étage de ce dernier. Le mur séparatif entre le pavillon et le reste du logis, est très épais : il s'agit de l'ancien mur extérieur du logis, avant les aménagements du début du 20e siècle et la construction du pavillon. A l'intérieur également, se trouve un escalier en vis en bois. Le rez-de-chaussée de la tour sud-est est occupé par une ancienne salle de bain, avec une baignoire en ciment aménagée dans le sol.

Technique du décor des immeubles par nature

Sculpture

Indexation iconographique normalisée

Mascaron, animal fantastique, acanthe, palmette, ange, losange, corbeille, fleur, rinceau, oiseau, fruit

Description de l'iconographie

Quelques mascarons sont visibles sur le pavillon ouest, la tour sud-est et la façade. Il s'agit de figures humaines, fantastiques ou d'animaux. Les consoles des appuis des fenêtres d'étage, sont ornées d'acanthe et de glyphes. Sous la fenêtre de l'étage du pavillon ouest, une pierre sculptée remployée présente des initiales (seul un R est encore lisible à droite) dans un cuir découpé, porté par deux angelots (celui de gauche est très dégradé). La souche de cheminée de la tour sud-est est ornée d'une guirlande de fruits.Dans le jardin, est entreposé un élément sculpté qui, selon la tradition orale, proviendrait de la cathédrale de Bordeaux.A l'intérieur du logis, au rez-de-chaussée, la cheminée du 18e siècle présente un décor sculpté constitué de losanges, de palmettes et de fleurs. Plus abondant, le décor de la cheminée Renaissance au rez-de-chaussée du pavillon ouest, comprend des rinceaux, des fleurs et une corbeille de fruits que picorent des oiseaux. Le sol du rez-de-chaussée du logis est pavé de pierres lithographiques reproduisant des étiquettes de bouteille de vin.

Protection et label

Intérêt de l'édifice

À signaler

Statut juridique

Statut juridique du propriétaire

Propriété privée

Références documentaires

Date de l'enquête ou du dernier récolement

2013

Date de rédaction de la notice

2013

Noms des rédacteurs de la notice et du dossier

Suire Yannis

Typologie du dossier

Dossier individuel

Adresse du dossier Inventaire

Région Nouvelle-Aquitaine - Service du Patrimoine et de l’Inventaire, site de Poitiers - 102, Grand'Rue - 86020 Poitiers - 05.49.36.30.07

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Détail de la souche de cheminée de la tour sud-est.
Détail de la souche de cheminée de la tour sud-est.
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Pierres lithographiques au sol du logis.
Pierres lithographiques au sol du logis.
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Cheminée Renaissance.
Cheminée Renaissance.
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La tour sud-est vue depuis le sud.
La tour sud-est vue depuis le sud.
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Une des consoles sous appui.
Une des consoles sous appui.
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La façade du logis.
La façade du logis.
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Le toit à l'impériale du pigeonnier.
Le toit à l'impériale du pigeonnier.
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Cheminée du 18e siècle : détail.
Cheminée du 18e siècle : détail.
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Cheminée Renaissance : détail.
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La fenêtre d'étage du pavillon ouest.
La fenêtre d'étage du pavillon ouest.
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Le pavillon ouest vu depuis le sud.
Le pavillon ouest vu depuis le sud.
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Cheminée du 18e siècle au rez-de-chaussée du logis.
Cheminée du 18e siècle au rez-de-chaussée du logis.
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Le pigeonnier fictif à l'extrémité de l'ancienne écurie, vu depuis l'ouest.
Le pigeonnier fictif à l'extrémité de l'ancienne écurie, vu depuis l'ouest.
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Détail de la façade sud du pavillon carré du château de Bourg-Charente, où figurent des éléments de décor identiques à ceux de la Fond.
Détail de la façade sud du pavillon carré du château de Bourg-Charente, où figurent des éléments de décor identiques à ceux de la Fond.
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Détail du pavillon ouest.
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Un appui de fenêtre mouluré, soutenu par des consoles.
Un appui de fenêtre mouluré, soutenu par des consoles.
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Les remises au nord de la cour.
Les remises au nord de la cour.
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Détail du pigeonnier.
Détail du pigeonnier.
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La tour nord vue depuis l'ouest.
La tour nord vue depuis l'ouest.
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Le toit du pavillon ouest.
Le toit du pavillon ouest.
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La fenêtre passante centrale.
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Vue aérienne de la Fond depuis l'est.
Vue aérienne de la Fond depuis l'est.
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Le pavillon ouest, la tour sud-est et le pigeonnier fictif vus depuis l'est.
Le pavillon ouest, la tour sud-est et le pigeonnier fictif vus depuis l'est.
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Initiales et angelots sous la fenêtre du pavillon ouest.
Initiales et angelots sous la fenêtre du pavillon ouest.
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Le pigeonnier et l'ancienne écurie vus depuis l'est.
Le pigeonnier et l'ancienne écurie vus depuis l'est.
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Le logis vu depuis l'ouest, avec l'extension à toit en terrasse.
Le logis vu depuis l'ouest, avec l'extension à toit en terrasse.
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Pierres de taille dépassant de la façade du logis.
Pierres de taille dépassant de la façade du logis.
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Porte à encadrement chanfreiné, du 18e siècle au moins, sur les remises au nord de la cour.
Porte à encadrement chanfreiné, du 18e siècle au moins, sur les remises au nord de la cour.
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Pierre sculptée entreposée dans le jardin, provenant semble-t-il de la cathédrale de Bordeaux.
Pierre sculptée entreposée dans le jardin, provenant semble-t-il de la cathédrale de Bordeaux.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Le pavillon ouest vu depuis le nord.
Le pavillon ouest vu depuis le nord.
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Plafond du dernier étage de la tour sud-est.
Plafond du dernier étage de la tour sud-est.
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Le pavillon ouest et la façade du logis vus depuis le sud.
Le pavillon ouest et la façade du logis vus depuis le sud.
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La girouette du pigeonnier.
La girouette du pigeonnier.
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Cheminée du 18e siècle : détail.
Cheminée du 18e siècle : détail.
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Cheminée Renaissance : détail.
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Détail de la tour sud-est : fronton brisé et linteau à mascaron, identiques à ceux de Bourg-Charente.
Détail de la tour sud-est : fronton brisé et linteau à mascaron, identiques à ceux de Bourg-Charente.
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Cheminée du 18e siècle : détail.
Cheminée du 18e siècle : détail.
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Le rez-de-chaussée du pavillon ouest et la façade du logis.
Le rez-de-chaussée du pavillon ouest et la façade du logis.
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Pierres lithographiques au sol du logis.
Pierres lithographiques au sol du logis.
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Cheminée Renaissance au rez-de-chaussée du pavillon ouest.
Cheminée Renaissance au rez-de-chaussée du pavillon ouest.
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Les remises et l'ancienne écurie au nord et à l'est de la cour.
Les remises et l'ancienne écurie au nord et à l'est de la cour.
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Le toit en poivrière de la tour sud-est.
Le toit en poivrière de la tour sud-est.
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Baignoire au rez-de-chaussée de la tour sud-est.
Baignoire au rez-de-chaussée de la tour sud-est.
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La tour nord vue depuis le nord.
La tour nord vue depuis le nord.
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Le logis de la Fond sur une carte postale vers 1910. ; La fontaine devant le logis de la Fond, carte postale vers 1910.
Le logis de la Fond sur une carte postale vers 1910. ; La fontaine devant le logis de la Fond, carte postale vers 1910.
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Dans la cage d'escalier, pavés de verre récupérés du paquebot Normandie.
Dans la cage d'escalier, pavés de verre récupérés du paquebot Normandie.
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La Fond sur le plan cadastral de 1831.
La Fond sur le plan cadastral de 1831.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel ; (c) Conseil général de la Charente-Maritime
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Cheminée Renaissance : détail.
Cheminée Renaissance : détail.
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Détail de la tour sud-est : appui à consoles, linteau à mascaron et fronton brisé, identiques à ceux de Bourg-Charente.
Détail de la tour sud-est : appui à consoles, linteau à mascaron et fronton brisé, identiques à ceux de Bourg-Charente.
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Le pavillon carré du château de Bourg-Charente.
Le pavillon carré du château de Bourg-Charente.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel ; (c) A.P.P. Fonds Editions Patrimoine et Medias
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Angle sud-est du pavillon ouest, en échauguette.
Angle sud-est du pavillon ouest, en échauguette.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Cheminée en marbre, du 19e siècle, à l'étage du pavillon ouest.
Cheminée en marbre, du 19e siècle, à l'étage du pavillon ouest.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Une des baies des remises, avec linteau remployé.
Une des baies des remises, avec linteau remployé.
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Le logis et la fontaine de la Fond sur un plan de Talmont par Claude Masse au début du 18e siècle. ; La fontaine sur un plan de Talmont par Claude Masse au début du 18e siècle.
Le logis et la fontaine de la Fond sur un plan de Talmont par Claude Masse au début du 18e siècle. ; La fontaine sur un plan de Talmont par Claude Masse au début du 18e siècle.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel ; (c) Service historique de la Défense
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Mascaron sur la tour sud-est.
Mascaron sur la tour sud-est.
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Mascaron et fronton de la fenêtre passante centrale.
Mascaron et fronton de la fenêtre passante centrale.
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La façade du logis, avec la porte basse à l'entrée, sur une carte postale vers 1920.
La façade du logis, avec la porte basse à l'entrée, sur une carte postale vers 1920.
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Epi en zinc de la tour nord.
Epi en zinc de la tour nord.
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Le logis de la Fond sur une carte postale vers 1920.
Le logis de la Fond sur une carte postale vers 1920.
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Le logis et le pavillon ouest vus depuis l'ouest.
Le logis et le pavillon ouest vus depuis l'ouest.
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Souche de cheminée de la tour sud-est, proche de celles de Bourg-Charente.
Souche de cheminée de la tour sud-est, proche de celles de Bourg-Charente.
(c) Région Nouvelle-Aquitaine, Inventaire général du patrimoine culturel
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Escalier en vis en bois.
Escalier en vis en bois.
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Porte intérieure de la tour nord.
Porte intérieure de la tour nord.
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Vue aérienne de la Fond depuis le sud-est.
Vue aérienne de la Fond depuis le sud-est.
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