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Plateforme ouverte du patrimoine

Maison et atelier d'horlogerie de Virgile Besançon

Désignation

Dénomination de l'édifice

Maison ; atelier

Précision sur la dénomination de l'édifice - hors lexique

Atelier d'horlogerie

Appellation d'usage

Atelier de Virgile Besançon

Titre courant

Maison et atelier d'horlogerie de Virgile Besançon

Localisation

Localisation

Bourgogne-Franche-Comté ; Doubs (25) ; Villers-le-Lac ; Genévriers (rue des) 10

Précision sur la localisation

Anciennement région de : Franche-Comté

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Pays horloger (le)

Canton

Morteau

Adresse de l'édifice

Genévriers (rue des) 10

Références cadastrales

2016 AC 45

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En ville

Partie constituante non étudiée

Atelier de fabrication ; logement ; garage

Historique

Siècle de la campagne principale de construction

2e quart 20e siècle

Année(s) de(s) campagne(s) de construction

1939

Commentaires concernant la datation

Daté par source ; daté par source

Description historique

Virgile Besançon (1899-1981), fils de l'horloger Alexandre Besançon (1875-1958), fait construire sa maison en 1939 et l'agrandit vers 1952 (garage en façade ?). Maison bien évidemment dotée d'un atelier dans lequel il fabrique des montres sous la marque Aga. Il se dit en 1948 successeur de la maison C. Moyse et Besançon, dans laquelle il était associé avec Charles Moyse (1873-1945), son beau-père (il s'est marié en 1924 avec Régine Rose Moyse). Il cède son entreprise, classée en 1965 dans la catégorie de 0 à 10 salariés, à son neveu Maurice Besançon, fils de son frère Charles Léon (1901-1967), également horloger. Maurice est à la tête de la Sarl Fabior-Watch, attestée en 1953 et classée en 1965 dans la même catégorie (0-10 salariés), qu'il transfère vers 1960 de son domicile (11 rue du Maréchal Delattre) dans l'usine de Camille Claude (3 rue Pasteur). La maison n'abrite plus d'activité productive.

Description

Matériaux du gros-œuvre

Calcaire (?) ; moellon ; enduit ; béton ; enduit

Matériaux de la couverture

Tuile mécanique ; béton en couverture

Description de l'élévation intérieure

Étage de soubassement ; rez-de-chaussée surélevé ; 1 étage carré

Partie d'élévation extérieure

Élévation à travées

Typologie de couverture

Toit à longs pans croupe ; terrasse

Emplacement, forme et structure de l’escalier

Escalier dans-oeuvre ; escalier de distribution extérieur : escalier droit, en maçonnerie

Commentaire descriptif de l'édifice

La maison a vraisemblablement des murs en moellons calcaires enduits. Coiffée d'un toit à longs pans, croupes et tuiles mécaniques, elle comporte un étage de soubassement, un rez-de-chaussée surélevé et un étage carré, desservis par un escalier dans-oeuvre et, pour le soubassement, par un escalier extérieur récent en béton contre le mur sud. Le garage en soubassement, accolé à la façade antérieure, fait appel au béton pour ses murs et son toit terrasse.

Statut juridique

Statut juridique du propriétaire

Propriété privée

Références documentaires

Date de l'enquête ou du dernier récolement

2015

Date de rédaction de la notice

2016

Noms des rédacteurs de la notice et du dossier

Poupard Laurent

Typologie du dossier

Dossier individuel

Villers-le-Lac (Doubs) - Vue aérienne. 22173 - Le Centre du Pays, 1952. La maison est visible entre deux autres, à la verticale de l'angle supérieur du cimetière. ; Villers-le-Lac (Doubs) - Vue aérienne. 22173 - Le Centre du Pays, 1952. ; Villers-le-Lac (Doubs) - Vue aérienne. 22173 - Le Centre du Pays, 1952. Le bâtiment est visible en-dessous de l'église.
Villers-le-Lac (Doubs) - Vue aérienne. 22173 - Le Centre du Pays, 1952. La maison est visible entre deux autres, à la verticale de l'angle supérieur du cimetière. ; Villers-le-Lac (Doubs) - Vue aérienne. 22173 - Le Centre du Pays, 1952. ; Villers-le-Lac (Doubs) - Vue aérienne. 22173 - Le Centre du Pays, 1952. Le bâtiment est visible en-dessous de l'église.
(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine
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