Atelier de diamantaire, usine de tabletterie (usine de tournerie) Benoît

Dénomination de l'édifice

Atelier ; usine de tabletterie ; usine d'articles en matière plastique ; usine de pièces détachées en matière plastique

Précision sur la dénomination de l'édifice - hors lexique

Atelier de diamantaire ; usine de tournerie

Appellation d'usage

Benoît

Titre courant

Atelier de diamantaire, usine de tabletterie (usine de tournerie) Benoît

Localisation

Bourgogne-Franche-Comté ; Jura (39) ; Vaux-lès-Saint-Claude

Précision sur la localisation

Anciennement région de : Franche-Comté

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Saint-Claude périphérie

Canton

Saint-Claude

Références cadastrales

1979 AK 843, 884 à 889

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En village

Partie constituante non étudiée

Bureau ; atelier de fabrication ; entrepôt industriel ; magasin industriel ; logement patronal ; cour

Siècle de la campagne principale de construction

1er quart 20e siècle ; 4e quart 20e siècle

Siècle de campagne secondaire de consctruction

2e quart 20e siècle

Commentaires concernant la datation

Daté par source ; daté par tradition orale ; daté par source ; daté par tradition orale ; daté par source ; daté par tradition orale

Description historique

Auguste Benoît édifie vers 1909 une maison avec atelier de diamantaire au rez-de-chaussée. Un autre atelier est attesté à l'étage d'un petit bâtiment proche (actuel entrepôt industriel), peut-être celui dont le cadastre signale la construction vers 1925. La taille du diamant est abandonnée au début des années 1930 (certainement à la suite de la crise de 1929). L'atelier principal, bâti entre-temps, est alors transformé en tournerie de galalithe. Maurice et Armand Benoît créent la marque Mauram et fabriquent des fournitures de bureau, notamment des stylos en galalithe. L'atelier est agrandi en 1948 lors de l'achat d'une presse à injecter américaine Reed Prentice. Entre 1955 et 1960 se développe une activité complémentaire d'usinage de plaques en plexiglas. Délaissée pour une autre unité à Alfortville (Val-de-Marne), l'usine de Vaux ferme en 1978. Achetée en 1985 par la famille Martos, elle est convertie en atelier de pièces détachées en matière plastique injectée. Les machines sont regroupées dans un bâtiment moderne édifié en 1989. 35 personnes en 1968, 6 en 1989.

Matériaux du gros-œuvre

Calcaire ; moellon ; enduit ; béton ; parpaing de béton ; enduit ; fer ; pan de fer ; essentage de tôle

Matériaux de la couverture

Tuile mécanique ; métal en couverture

Description de l'élévation intérieure

1 étage carré ; étage en surcroît

Partie d'élévation extérieure

Élévation à travées

Typologie de couverture

Toit à longs pans ; appentis ; pignon couvert

Source de l'énergie utilisée par l'édifice

Énergie électrique ; achetée

Commentaire descriptif de l'édifice

Murs en moellon calcaire pour le logement patronal, à étage carré et étage en surcroît, et l'entrepôt industriel, à étage carré. Parpaing de béton pour l'atelier principal. Bâtiment de 1989 : pan de fer et essentage de tôle, appentis à couverture métallique. ; surface du site en m2 : 6393

Statut juridique du propriétaire

Propriété privée

Date de l'enquête ou du dernier récolement

1990

Copyright de la notice

(c) Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine

Date de rédaction de la notice

1992

Noms des rédacteurs de la notice et du dossier

Poupard Laurent

Cadre de l'étude

Typologie du dossier

Dossier individuel