Ensemble de petite métallurgie
Usine de faux et de faucilles
Usines de faux et de faucilles Dorian
Ensemble de petite métallurgie : usines de faux et de faucilles Dorian
Auvergne-Rhône-Alpes ; Haute-Loire (43) ; Pont-Salomon ; rue des Martinets ; rue de la Mairie ; rue du Velay
Anciennement région de : Auvergne
Pont-Salomon
Saint-Didier-en-Velay
Martinets (rue des) ; Mairie (rue de la) ; Velay (rue du)
1981 C 189 ; 1992 AA 123 ; 1992 AL 68 ; 1992 AK 52.53 ; 1992 AL 94 A 110 ; 1992 AB 1.2 ; 1992 AE 124.125.126 ; 1992 AL 58 A 67 ; 1992 AB 8.9.10 ; 1992 AM 87
En village
La Semène
2e quart 19e siècle ; 2e moitié 19e siècle ; 3e quart 19e siècle ; 1er quart 20e siècle ; 2e quart 20e siècle
1856 ; 1868 ; 1911 ; 1922
Daté par source
Ensemble formé de sept usines de taillanderie accompagnées de logements d'ouvriers et de deux centrales électriques. Les 5 premières usines (étirage et platinerie de faux et faucilles) sont construites dans les années 1840 par la société Massenet, Gérin et Jackson Frères qui souhaite délocaliser une partie de sa production de Saint-Etienne. En 1856 est bâtie l'usine de l'Alliance, où s'effectuent les autres opérations de fabrication, et en 1868 celle de La Fraque, dévolue à l'aiguisage jusqu'en 1905, date à laquelle elle devient usine de fourches. A partir de 1863, la société prend le nom de Dorian, Holtzer-Jackson & Cie. Jusqu'en 1865, date de la création de la commune de Pont-Salomon à la demande des industriels, les différents sites de production se trouvent sur trois communes : les usines de Chabanne, La Méane (détruite) , l'Alliance, La Fraque sont à Aurec-sur-Loire, celles du Foultier et du Vieux-Moulin dépendent de Saint-Ferréol et l'usine du Pont est à Saint-Didier-en-Velay. En 1911 et 1922, la société construit successivement la centrale hydroélectrique de La Méane 1 et la centrale électrique de La Méane 2. Les cinq usines de 1840 ont toutes cessé de fonctionner : La Méane en 1947, Chabanne vers 1965, Le Pont en 1980, Le Vieux Moulin au début des années 1980 et Le Foultier en 1983. Roues hydrauliques verticales dans l'ensemble des usines, secondées par des moteurs électriques à partir des années 1920. Service médical destiné aux ouvriers à partir de 1860.1846 : 30 ouvriers ; 1881 : 230 ouvriers ; 1971 : 200 ouvriers ; 1998 : 40 ouvriers. Existence d'un fonds d'archives privées.
À signaler
Propriété privée,propriété de la commune
1998
© Région Auvergne - Inventaire général du patrimoine culturel
1999
Henry Anne
Dossier avec sous-dossier
Patrimoine industriel
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