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Plateforme ouverte du patrimoine

Prieuré de bénédictines Sainte-Marie, Sainte-Madeleine dit prieuré de la Sauvetat-des-Monges..

Désignation

Dénomination de l'édifice

Prieuré

Genre du destinataire

De bénédictines

Vocable - pour les édifices cultuels

Sainte-Marie ; Sainte-Madeleine

Appellation d'usage

Prieuré de la Sauvetat-des-Monges

Destination actuelle de l'édifice

Église paroissiale

Titre courant

Prieuré de bénédictines Sainte-Marie, Sainte-Madeleine dit prieuré de la Sauvetat-des-Monges..

Localisation

Localisation

Nouvelle-Aquitaine ; Lot-et-Garonne (47) ; Blanquefort-sur-Briolance

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Fumel

Lieu-dit

La Sauvetat

Références cadastrales

1827 I1 337, 339 ; 1982 AB 115, 116

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En écart

Historique

Siècle de la campagne principale de construction

1ère moitié 12e siècle

Siècle de campagne secondaire de consctruction

Limite 15e siècle 16e siècle ; 1ère moitié 17e siècle ; 18e siècle

Auteur de l'édifice

Description historique

Prieuré de moniale dépendant au Moyen Age de l'abbaye bénédictine de la Sauve-Majeure, ruiné durant la guerre de Cent Ans. L'église est mentionnée pour la première fois en 1142 sous le vocable Sainte-Marie de Salvetat, puis sous celui de Sainte-Madeleine au 17e siècle. L'édifice a été certainement construit durant la première moitié du 12e siècle. La façade occidentale percée d'un portail à moulures croisées est datable de la limite des 15e et 16e siècles (identique à celui de Saint-Chaliès, IA47000514). L'évêque Nicolas de Villars qui visite l'église vers 1600, décrit un édifice découvert, excepté un peu de voûte sur l'autel. Elle est remise en état durant la première moitié du 17e siècle : la voûte de la travée droite du choeur semble dater de cette époque. Une chapelle aurait été construite du côté sud en 1640, pour Jean Philip, selon le procès-verbal de l'évêque Mascaron de 1682. La chapelle sert à cette date de sacristie pour le curé Pierre Fournier, qui en a fait murer l'entrée. Mascaron décrit un sanctuaire voûté surmonté d'un clocher-tour et une nef lambrissée. la chapelle sud a été détruite durant la Révolution, selon un document de la jurade de Monflanquin de 1793.

Description

Matériaux du gros-œuvre

Calcaire ; moellon ; pierre de taille ; enduit partiel

Matériaux de la couverture

Tuile creuse ; tuile plate ; calcaire en couverture

Typologie de plan

Plan allongé

Description de l'élévation intérieure

1 vaisseau

Typologie du couvrement

Voûte en berceau brisé ; cul-de-four ; lambris de couvrement

Typologie de couverture

Toit à longs pans ; pignon couvert ; toit en pavillon ; croupe ronde

Commentaire descriptif de l'édifice

Travée droite voûtée en berceau légèrement brisé que surmonte un clocher carré, abside voûtée en cul-de-four. Toit à long pans sur la nef couvert en tuile creuse, toit en pavillon sur le clocher couvert en tuile plate, abside en croupe ronde couverte en calcaire (lauze).

Commentaires d'usage régional

Lauze

Protection et label

Référence aux objets conservés

IM47000857 ; IM47000854 ; IM47000855 ; IM47000858 ; IM47000859 ; IM47000856

Intérêt de l'édifice

À signaler

Statut juridique

Statut juridique du propriétaire

Propriété publique

Références documentaires

Date de l'enquête ou du dernier récolement

1977

Date de rédaction de la notice

1996

Noms des rédacteurs de la notice et du dossier

Beschi Alain

Cadre de l'étude

Typologie du dossier

Dossier individuel

Adresse du dossier Inventaire

Région Nouvelle-Aquitaine - Service du Patrimoine et de l’Inventaire, site de Bordeaux - 5, place Jean-Jaurès 33000 Bordeaux - 05 57 57 72 37