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Plateforme ouverte du patrimoine

Chapelle dite chapelle des Abergeries

Désignation

Dénomination de l'édifice

Chapelle

Appellation d'usage

Chapelle des Abergeries

Titre courant

Chapelle dite chapelle des Abergeries

Localisation

Localisation

Bourgogne-Franche-Comté ; Saône-et-Loire (71) ; Marcigny

Précision sur la localisation

Anciennement région de : Bourgogne

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Marcigny

Canton

Marcigny

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En ville

Historique

Siècle de la campagne principale de construction

4e quart 16e siècle

Année(s) de(s) campagne(s) de construction

1590

Commentaires concernant la datation

Daté par source

Auteur de l'édifice

Description historique

La chapelle a été détruite avant 1972. L'historique conservé aux Archives Départementales de Saône-et-Loire (Inventaire Oursel - 5 Fi 275 / 1) donne les renseignements suivants, tirés du livre du Dr Ducroux : "Edifiée sur les ruines d'une chapelle romane décorée de fresques qui fut incendiée par les huguenots dans la seconde moitié du XVIe siècle, la chapelle des Abergeries fut construite par les frères Grégoire. Vers 1945 la chapelle alors très délabrée fut donnée à la ville de Marcigny par ses quatre propriétaires (...)". Courtépée lui-même cite cette chapelle dite N. D. des Aubergeries "destinée sans doute à héberger et recevoir les pauvres voyageurs" et décrit deux bas-reliefs "assez grossiers, incrustés dans le mur, représentant l'un des personnes à table l'autre deux hommes qui portent ensemble une chaudière".

Description

Commentaire descriptif de l'édifice

L'édifice a été décrit en 1948 par Louis Bernard, recenseur des Monuments historiques : "La chapelle des Abergeries se compose d'un choeur en hémicycle accolé à une nef barlongue plus large. Cette nef éclairée de chaque côté par deux baies était voûtée en lattes de bois. Le choeur est également voûté en bois en cul-de-four en plein cintre ; il est plus bas que la nef ; une corniche en bois le pourtoure intérieurement. Il est percé de trois baies ébrasées vers l'intérieur. A noter une Vierge et Sainte Anne en bois du XVIIIe siècle et deux consoles de pierres, l'une portant "a domus factum est istud 1590" avec les initiales de Jean-François Grégoire et leur blason ; sur l'autre les initiales de Madeleine Racaud sa femme et 1610".

État de conservation (normalisé)

Détruit

Références documentaires

Date de l'enquête ou du dernier récolement

2010

Date de rédaction de la notice

2010

Noms des rédacteurs de la notice et du dossier

Potier Nicolas

Cadre de l'étude

Typologie du dossier

Dossier individuel

Adresse du dossier Inventaire

Conseil régional de Bourgogne - Service Patrimoine et Inventaire 17, bd de la Trémouille BP 23502 - 21035 Dijon cedex - 03.80.44.40.55