Maison à trois logements accolés, dits Senorita, L'Andalouse et Juanita

Dénomination de l'édifice

Maison

Précision sur la dénomination de l'édifice - hors lexique

Maison à trois logements accolés

Appellation d'usage

Senorita, puisL'Andalouse, actuellementJuanita

Titre courant

Maison à trois logements accolés, dits Senorita, L'Andalouse et Juanita

Localisation

Hauts-de-France ; Somme (80) ; Mers-les-Bains ; 9, 11, 13 ancienne rue Bellevue, actuellement rue Raspail

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Communauté de communes des Villes Soeurs

Canton

Ault

Adresse de l'édifice

Raspail (rue) 9, 11, 13 ; Bellevue (ancienne rue)

Références cadastrales

1982AH 718, 719, 720, 1221

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En ville

Partie constituante non étudiée

Cour

Siècle de la campagne principale de construction

1er quart 20e siècle

Auteur de l'édifice

Commentaires concernant l'attribution de l'édifice

Signature ; attribution par source

Personnalités liées à l'histoire de l'édifice

Garel Oswald (commanditaire)

Description historique

Maison à trois logements accolés construite vers 1914 d'après l'Annuaire du syndicat des propriétaires pour l'année 1904-1915 (date mentionnée comme construction nouvelle dans les matrices cadastrales) par Henri Martin, entrepreneur au Tréport (Seine-Maritime) pour Oswald Garel, agent de location à Mers-les-Bains (source : matrices cadastrales). La maison portant le numéro 11 s'appelle L'Andalouse, celle portant le numéro 13 s'appelle Juanita. La maison au numéro 9 a perdu son appellation, à l'origine Señorita (source : matrices cadastrales).

Matériaux du gros-œuvre

Brique ; badigeon partiel

Matériaux de la couverture

Ardoise

Description de l'élévation intérieure

Sous-sol ; rez-de-chaussée surélevé ; 1 étage carré ; étage de comble

Typologie de couverture

Toit à longs pans brisés ; pignon couvert

Commentaire descriptif de l'édifice

Édifice implanté à l'aplomb de la rue et en double mitoyenneté, chaque logement disposant d'une cour en fond de parcelle. Le gros-œuvre, en brique, est laissé apparent, sauf pour le logement de gauche, recouvert d'un badigeon. Le toit, en ardoise, est couvert à longs pans brisés avec égout retroussé très débordant. Chaque logement est composé de deux travées de largeur inégale en façade, la travée la moins large recevant l'entrée. La travée la plus large est mise en valeur par de larges baies, devancées par des balcons. Le rez-de-chaussée, surélevé par un sous-sol semi-enterré, est accessible grâce à quelques marches qui mènent à la porte d'entrée protégée par un porche dans-oeuvre. Les deux portes d'entrée des logements de droite sont accolées.

Technique du décor des immeubles par nature

Céramique ; menuiserie

Description de l'iconographie

Quelques briques émaillées disposées aux encadrements des baies participent au décor. Les garde-corps des balcons sont en menuiserie.

Observations concernant la protection de l'édifice

Dossier mis à jour en 2024 avec la collaboration de l'Association des Propriétaires, Résidents, et Intéressés par Mers (APRIM : association fondée en 1886 comme le Syndicat des propriétaires) et Françoise Mary.

Statut juridique du propriétaire

Propriété privée

Date de l'enquête ou du dernier récolement

2002

Copyright de la notice

(c) Région Hauts-de-France - Inventaire général ; (c) Département de la Somme ; (c) SMACOPI

Date de rédaction de la notice

2003

Noms des rédacteurs de la notice et du dossier

Justome Elisabeth

Cadre de l'étude

Typologie du dossier

Dossier individuel

Adresse du dossier Inventaire

Conseil régional Hauts-de-France - Service de l'Inventaire du patrimoine culturel 21 mail Albert-Ier 80000 Amiens