Imprimerie Challuau, puis Bruneau Rossignol, puis Mazereau, puis Roiffé, puis Blanchard, puis Firmin Blanchard, puis Firmin

Désignation

Dénomination de l'édifice

Imprimerie

Appellation d'usage

Imprimerie Challuau, puis Bruneau rossignol, puis Mazereau, puis Roiffe, puis Blanchard, puis Firmin Blanchard, puis Firmin

Titre courant

Imprimerie Challuau, puis Bruneau Rossignol, puis Mazereau, puis Roiffé, puis Blanchard, puis Firmin Blanchard, puis Firmin

Localisation

Nouvelle-Aquitaine ; Vienne (86) ; Loudun ; 7 place de la Boeuffeterie

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Vienne

Canton

Loudun

Adresse de l'édifice

Boeuffeterie (place de la) 7

Références cadastrales

1982 AN 989

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En ville

Partie constituante non étudiée

Atelier de fabrication

Historique

Siècle de la campagne principale de construction

2e quart 19e siècle

Année(s) de(s) campagne(s) de construction

1830

Commentaires concernant la datation

Daté par travaux historiques

Auteur de l'édifice

maître d'oeuvre inconnu

Description historique

L'imprimerie, créée en 1794 par Challuau, passe à son neveu Bruneau Rossignol en 1830 et s'installe place de la Boeuffeterie. Bruneau Rossignol créa le 1er mai 1836 le Journal de Loudun. Après avoir appartenu à différents propriétaires, l'usine fut acquise par Louis Blanchard en 1903 puis transmise à Blanchard Firmin puis Michel Firmin. Le journal de Loudun cessa d'être imprimé en 1937, mais l'entreprise continue de travailler à façon. L'ensemble de 5 presses typographiques en place fonctionne avec l'énergie électrique, 2 presses typographiques à pédale et à platine datent des années 1850, fonderie Turcot H. Chaix et Cie Paris modèle à la française, et A Bertrand Paris, 8 place de l'Abbaye modèle national, une presse universelle à encrage plat (Marinoni, Paris, rue d'Assas 96) , achetée vers 1870, 2 presses Heidelberg numéro t 131 33N et numéro 101 788N. Deux machines complètent cet ensemble, un massicot à main à lame éclairée marque F L Foulont et Langenhagen ainsi qu'une presse à relier à percussion Coisne, mécanicien à Paris sont depuis 1830 dans la maison