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Eglise Saint-Pierre-Saint-Paul de Sannois

Désignation

Dénomination de l'édifice

Église paroissiale

Vocable - pour les édifices cultuels

Saint-Pierre-Saint-Paul

Titre courant

Eglise Saint-Pierre-Saint-Paul de Sannois

Localisation

Localisation

Île-de-France ; Val-d'Oise (95) ; Sannois ; Carnot (rue ) 1

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Ile-de-France

Adresse de l'édifice

Carnot (rue ) 1

Références cadastrales

2020 AN 385

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En ville

Historique

Siècle de la campagne principale de construction

2e quart 20e siècle

Année(s) de(s) campagne(s) de construction

1935

Commentaires concernant la datation

Daté par source ; daté par source

Description historique

On trouve mention d’une église à Sannois dès la fin du XIIe siècle. Le seul vestige conservé de cet édifice est un chapiteau roman dont trois faces sont ornées et représentent quatre personnages sur un fond de feuilles d’acanthe. Cette église primitive a laissé sa place à un nouveau bâtiment érigé au XVIe siècle.Au début du XXe siècle, l'église est clairement sous dimensionnée pour accueillir l'ensemble des paroissiens et son état de délabrement est tel que des travaux d'agrandissement sont décidés en 1905. Ils ne sont toujours pas achevés à la veille de la Première Guerre mondiale. En 1932, un chantier de démolition de l’ancienne église est finalement entrepris par Léon Rousselet, président de la commission des travaux du conseil municipal, avec l’aide d’ouvriers de la ville et de 18 chômeurs engagés aux frais de la commune. En 1935, la nouvelle église, achevée, est bénie. Mais il reste encore beaucoup de travail à entreprendre : décoration intérieure, vitraux, sculpture des chapiteaux, etc. Pour la réalisation des vitraux, l’artiste ermontoise Valentine Reyre est sollicitée. Avec le peintre-verrier Marguerite Huré, elle réalise, grâce à la générosité des paroissiens sannoisiens, 10 vitraux : 5 panneaux dans la chapelle-baptistère, 4 verrières et une rosace.Diverses personnalités ont été enterrés dans l’église de Sannois. La plus célèbre d’entre elles est incontestablement Savinien Cyrano de Bergerac, qui inspira le dramaturge Edmond Rostand pour l’écriture de sa pièce. Les archives municipales de la ville conservent aujourd’hui son acte de décès, rédigé par le curé Cochon en 1655. En dépit de recherches minutieuses de l’historien Jacques Delaplace, l’emplacement exact de la tombe de Cyrano n’a pu être établi.Parmi les embellissements les plus récents de l'église, on peut citer la présence d’un chapiteau moderne, sculpté en 2000 : « Chaîne d’amitié ou de prière communautaire », exécuté par l’artiste sannoisien Dan Robert, pour marquer le centenaire de l’église et aussi l’avènement du nouveau millénaire. [1][1] Texte de : CASSIN, Marina, LECA, Nathalie, dans le dossier de candidature au label "patrimoine d'intérêt régional" de l'église Saint-Pierre-Saint-Paul de Sannois, 2022. -----------------------------------------------------------------L’église de Sannois, placée sous l’invocation des saints Apôtres Pierre et Paul, possède plusieurs œuvres d’art inscrites et classées au titre des monuments historiques (selon le constat d'état dressé en 2020 par le Conservateur des Antiquités et Objets d'Art du département du Val-d'Oise, Christian Olivereau) : • Dans la chapelle de la Vierge : un chapiteau roman du XIIème siècle, orné de personnages, classé au titre des monuments historiques.À droite, une statue de Saint Sébastien en terre cuite du XVIIe siècle, et sur les murs latéraux, les chefs-reliquaires de saint Blaise du XVIIIe siècle et de saint Julien du XIXème siècle. (classé M.H.)• Dans le chœur : deux statues en bois, Sainte Marguerite du XVIème siècle, et Saint Blaise du XVIIème siècle. (classé et inscrit M.H.)• Verrières dans les bas-côtés et dans la chapelle des fonts baptismaux et magnifique rosace de la façade orientale, réalisées par Valentine Reyre, dans la première moitié du XXe siècle.• À l’entrée de la nef, la statue d’ange, datant de 1945, est attribuée à l’atelier des frères Mauméjean ainsi que les 14 stations de la Passion du Christ, le décor en mosaïque du chœur, les voûtes des deux chapelles latérales et des verrières du chœur.• Au mur de la nef droite : une croix de calvaire du XVIIème siècle, autrefois située au carrefour de la rue de la Borne et de la rue de Paris.• Vitraux du maître verrier Ernest Haussaire du début du XXème siècle.Le chapiteau roman du XIIème siècleCe chapiteau semblerait provenir de l’ancienne église de Sannois avant qu’il ne serve de bénitier à la porte de la sacristie. Il faisait partie d’un ancien retable auquel s’adossait l’autel. La corbeille représente quatre personnages. Sur la face principale, on reconnait Saint-Paul tenant un livre ouvert ainsi que Saint-Pierre tenant des clefs. Tous deux sont assis sur un banc percé de petites ouvertures en plein cintre. Sur les côtés deux bustes d’hommes jeunes apparaissent entre une double rangée de feuilles dérivées de l’acanthe : celui de droite a la main portée sur la tête, son visage exprimant une certaine frayeur. Les représentations sont très stylisées : attitudes de face, volumes simples, cheveux traités par mèches épaisses, légèrement frisées avec incisions parallèles ; plis des vêtements rendus selon la même technique.Epoque : XIIème siècle. Matière : Pierre. Dimensions : Hauteur 31 cm, largeur 27 cm. Protection : Classé au titre des monuments historiques depuis le 30 septembre1982. La statue de Saint-BlaiseLe saint évêque est représenté de face dans une attitude très rigide. Les avant-bras levés à la même hauteur, les plis concentrés dans l’axe du corps et le parti symétrique qui s’en dégage contribuent à accentuer cette impression de froideur. Le traitement du visage adroit dans le rendu de l’expression, mais restant très sévère, résulte de ce même esprit de synthèse qui caractérise l’art populaire. Ce qui frappe, ce sont les défauts de proportions et l’absence d’unité dans le volume : le corps, les vêtements et la tête semblent sculptés comme des parties indépendantes, simplement assemblées. Traitement décoratif des détails : cheveux et barbe à mèches ondulées rappelaient les franges très marquées de la dalmatique et du manipule.Epoque : XVIIème siècle. Matière : Bois. Dimensions : Hauteur 100 cm, largeur 40 cm. Protection : Inscrite aux Monuments Historiques le 31 octobre 1990. La statue de Sainte-Marguerite d’AntiocheSainte Marguerite d'Antioche, les mains jointes à dextre et la jambe droite légèrement pliée sous son manteau, triomphe du dragon conformément à sa légende hagiographique. Ses cheveux tombent en deux rouleaux torsadés de part et d'autre de ses épaules. Le regard dirigé vers le bas, la bouche tombante et le menton volontaire lui confèrent une apparence hautaine.Epoque : XVIème siècle. Matière : Bois. Dimensions : Hauteur 102 cm, largeur 38 cm. Protection : Classée aux Monuments Historiques le 26 avril 1965. La statue de Saint-SébastienSaint Sébastien est représenté en pied, nu, ceint d'un pagne. Il est attaché par les bras à un pilier.Epoque : Seconde moitié du XVIIème siècle. Matière : Terre. Dimensions : Hauteur 95 cm. Protection : Classée aux Monuments Historiques le 30 septembre 1982. L’église Saint-Pierre-Saint-Paul abrite enfin deux chefs reliquaires en bois enduit et peint : un reliquaire de Saint-Blaise datant du XVIIIème siècle et restauré en 1880 et un reliquaire de Saint-Julien datant du XIXème siècle. [2][2] CASSIN, Marina, LECA, Nathalie, dossier de candidature au label "patrimoine d'intérêt régional" de l'église Saint-Pierre-Saint-Paul de Sannois, 2022. --------------------------------------------------------------------------LES VITRAUX DE VALENTINE REYRE ET DE MARGUERITE HUREContexte de la commande artistiqueDans les années 1930, la reconstruction de l’église actuelle étant terminée, le chanoine Batut a souhaité remplacer les verrières blanches. La peintre Valentine Reyre est sollicitée, son atelier est à Cernay, et donne la priorité à la recherche d’une esthétique chrétienne. Elle a participé à la réalisation de nombreuses œuvres religieuses.L'église de Sannois possède ainsi dix verrières résultant de la collaboration de cette artiste avec Marguerite Huré, peintre- verrier : cinq verrières dans la chapelle-baptistère, quatre verrières sur les bas-côtés et la rosace au-dessus du portail. Fonts baptismaux –– Vitraux de Valentine REYRE (vitraux nos 1/2/3/4/5)1/ Le Notre Père 2/ Ange : 3/ Trinité 4/ Ange : 5/CredoDans la chapelle des fonts baptismaux, cinq verrières datées de 1937 dans des tons pastel : la Sainte Trinité au centre représentée par la colombe du Saint-Esprit entourée par des ange gardiens qui protègent les jeunes enfants et sur les côtés le « Notre Père » et le « Credo » où sont inscrits des textes de prières rituelles pour les parrains ou marraines un peu trop émus.Rosace consacrée à Sainte Thérèse de Lisieux - Valentine REYRE - 1936Cette rosace, datée de 1936, est consacrée à Sainte Thérèse de Lisieux en prière, vêtue de l’habit carmélite figurant dans le médaillon central, entouré de huit panneaux en forme de pétales. Un phylactère reprend ses paroles « Dans le cœur de l’Eglise, ma Mère, je serai l’amour ».Elle est entourée de séraphins, d’anges, d’un évêque, de Saint-Antoine de Padoue et de l’Enfant Jésus qui la regarde et la bénit.Dans l’un des vitraux, on reconnaît le village de Sannois avec la colline du Mont Trouillet, les ailes du moulin et le clocher de l’Eglise sur de somptueuses harmonies de bleu et de vert. Les commanditaires de la rosace sont la famille Couderc en souvenir de leur fils Albert-Antoine. En bas du panneau, deux signatures : celles de Valentine Reyre et de Marguerite Huré. A/ Vie de Saint Albert B/ Sainte Anne – Saint Joachim - vitraux de Valentine REYREValentine Reyre est profondément marquée par le souvenir de la guerre de 1914-1918 qu’elle évoque à travers deux vitraux en losange dédiés respectivement à Saint-Albert et à Sainte-Anne. Ces compositions s’inscrivent dans un vaste mouvement de commémorations tant dans le domaine civil que religieux suscité par la Grande Guerre.Un premier vitrail baigné d’une lumière rouge brun évoque la vie de Saint-Albert de Liège à travers trois scènes : son massacre, son sacre à Reims et sa jeunesse. L’artiste fait référence de façon symbolique au soldat-roi Albert 1er, roi Belge qui combattait en personne les troupes allemandes.Ce 1er vitrail a été réalisé en Souvenir d’Albert Antoine, fils des donateurs sannoisiens de Monsieur et Madame Couderc. Le second vitrail représente trois scènes de la vie de Sainte-Anne : la naissance de Marie, Marie entourée de ses parents et Saint-Joachim présentant l’Enfant Jésus à Sainte-Anne. L’artiste fait ici référence à la reine Elisabeth, épouse du roi Albert 1er et membre de l’ordre charitable de Sainte-Anne qui soignait avec dévouement les blessés lors de la Grande Guerre.Ce vitrail a été réalisé en souvenir de la mère des donateur Wolf – Cureyras.Sainte-Catherine de Sienne qui soutient un martyr - Vitrail de Valentine REYRE - 1937Ce vitrail rond exécuté en 1937 représente Sainte Catherine de Sienne soutenant Nicolo Tuldo, jeune homme condamné à mort pour avoir monté une insurrection à Sienne en Italie. Révolté, il ne pouvait accepter cette sentence cruelle et blasphémait Dieu. Sainte-Catherine l’apprit et alla trouver le malheureux dans sa prison. Elle réveilla en lui sa foi au point qu’il accepta la mort comme l’entrée dans la vie bienheureuse. Mais la Sainte avait promis de l’assister dans son supplice, elle tint parole et tint dans ses propres mains la tête du jeune condamné.Ce vitrail est construit sur deux plans : la scène d’exécution qui est figurative et à l’arrière, un paysage plus abstrait. Seul le visage de Sainte Catherine de Sienne est tourné vers le spectateur, comme pour le conduire à entrer dans l’image. Contrairement au bourreau qui tient son épée et dont le visage est recouvert. Souffrance et soutien s'unissent dans cette composition.Offert par le sannoisien Mr Boulenger en souvenir de sa mère. Saint François d’Assise Saint François Xavier et Saint Antoine de Padoue - Vitrail de Valentine REYRE - 1937Ce vitrail évoque trois grands saints missionnaires. Saint-François Xavier est le patron de Mr le Curé (François Batut) et par surcroît le patron universel des missions, le disciple de Saint Ignace de Loyola qui porta au XVIème siècle la Bonne Nouvelle Evangéliste vers les terres du plus lointain extrême Orient.Au médaillon central, debout dans son austère soutane noire, Saint-François d’Assise élève la croix. Il est entouré d’un homme noir qui l’écoute parler.Le médaillon du bas évoque la vie de Saint-Antoine de Padoue, disciple de Saint-François d’Assise : une nuit pendant laquelle Antoine prolongeait sa veillée studieuse pour approfondir les vertus de la foi qu’il voulait prêcher pour convertir les hérétiques, l’Enfant Jésus apparut sur le livre et combla de caresses son fidèle serviteur.LES DECORS EN MOSAIQUE DES ATELIERS MAUMEJEANÀ l’entrée de la nef, la statue d’ange, datant de 1945, est attribuée à l’atelier des frères Mauméjean ainsi que les 14 stations de la Passion du Christ, le décor en mosaïque du chœur, les voûtes des deux chapelles latérales et des verrières du chœur. D’inspiration néo-byzantine, le décor du chœur de l’église de Sannois évoque le Pélican, l’Arche de l’Alliance, le pain, le blé et le poisson.La première chapelle est dédiée à Marie et représente le couronnement de la Vierge et les emblèmes des litanies de la Vierge.La seconde chapelle avec sa voûte en forme de cul-de-four est dédiée à Joseph avec ses outils de charpentier.--------------------------------------------------------VALENTINE REYRE (1889-1943) 1- La formationValentine Reyre est née à Paris en 1889, où elle manifeste très jeune de grandes dispositions pour le dessin et la peinture. Attirée un moment par la sculpture, elle suit les leçons de Bourdelle. Quoique n’ayant pas persévéré, elle laisse quelques œuvres de jeunesse, terres cuites pour la plupart, pleines de vie et de charme. Elle se forme à l’atelier de peinture de la Grande Chaumière et devient élève de Lucien Simon et de Georges Desvallières. 2- L’Arche et les ateliers d’art sacré Pendant la guerre de 1914-1918, elle continue à travailler sans relâche et brosse à ce moment d’assez nombreux portraits, très dépouillés, cherchant avant tout à centrer l’intérêt sur le visage où éclate la personnalité du modèle, sans laisser l’attention s’égarer sur les accessoires. À la fin de la guerre, alors que tant d’églises dévastées ont besoin d’être reconstruites, elle crée, en 1916, avec plusieurs camarades (Maurice Storez, Henri Charlier), animés de la même foi catholique et des mêmes principes d’art, un groupement de travail, l’Arche, qui cherche à rejoindre, en utilisant les techniques modernes et sans aucune idée de pastiche, l’esprit des artistes du Moyen Âge, créant en équipe sous la direction du « maître d’œuvre », l’architecte. Elle formera de nombreuses femmes pour les rendre opérationnelles sur les chantiers des églises. Elle participe également aux Ateliers d’Art Sacré, en 1919, avec Maurice Denis et Georges Desvallières : celui-ci la pousse vers une expressivité plus affirmée. L’irruption des drames de la Grande guerre, qui la marquent en profondeur, va l’aider en ce sens. 3- L’atelier de Cernay C’est à ce moment que commence la période la plus féconde de sa carrière, qui ne sera interrompue que par la guerre de 1940, où elle abandonnera volontairement tout travail artistique pour se livrer à des devoirs plus pressants d’entraide sociale, d’éducation et de formation de la jeunesse et d’activité municipale. Elle a pour cadre Ermont, dans le quartier de Cernay, où Valentine Reyre est installée avec sa famille depuis 1924. C’est là, dans une simple remise transformée en atelier, qu’elle conçoit, pour la plupart, des grandes compositions, cartons de fresques et de vitraux, qu’elle va exécuter elle-même sur place et dans les ateliers de verriers de deux de ses amis. La technique de la fresque, qui demande de la part de l’artiste beaucoup de maîtrise, l’a enthousiasmée, et elle abandonne presque complètement la peinture à l’huile et le tableau de chevalet pour y consacrer le meilleur de son talent, parvenu alors à sa pleine maturité.Il serait trop long d’énumérer toutes les productions de ses vingt dernières années. Beaucoup d’églises et de chapelles dans le nord de la France et en Belgique, à Paris, en Corse, gardent l’empreinte vivante de son talent. 4- Les réalisations de Valentine Reyre dans le Val-d’Oise et la Seine-Saint-Denis Dans ces deux départements, trois églises sont embellies de ses œuvres. - L’église Sainte-Thérèse de l’Enfant Jésus à Montmagny Construite par les frères Perret, cette église reçoit derrière l’autel, une grande décoration à fresque en 1926. Elle complète cette décoration par un chemin de croix, peint à fresque aussi, et exécuté à la veille de la guerre. - L’église des Missions à Epinay-sur-Seine. Au Cygne d’Enghien, à l’église des Missions d’Épinay-sur-Seine, l’un des trois vitraux qui forment le chevet de l’église est son œuvre : Saint-Joseph et les missions en Afrique. L’une des grandes peintures sur toile, marouflées au mur, l’Évangélisation de la Grande-Bretagne, est conçue et exécutée par elle dans son atelier d’Ermont, en 1931. - L’église Saint Pierre et Saint Paul à Sannois. - Enfin à Ermont, un vitrail datant d’après 1924, offert par la famille dans les années 1960, après le décès de l’artiste, à l’aumônerie paroissiale du lycée Van-Gogh. L'œuvre de Valentine Reyre, tout comme celle de Séraphine Louis, dont elle partageait la foi, est très bien représentée dans les collections du Musée d'Art et d'Archéologie de Senlis.

Description

Matériaux du gros-œuvre

Pierre ; pierre de taille

Matériaux de la couverture

Ardoise ; zinc en couverture

Typologie de plan

Plan en croix latine

Typologie du couvrement

Voûte en berceau plein-cintre

Typologie de couverture

Toit en bâtière

Technique du décor des immeubles par nature

Vitrail ; sculpture ; mosaïque

Protection et label

Précision sur la protection de l'édifice

L'église Saint-Pierre-Saint-Paul de Sannois a été labellisée "patrimoine d'intérêt régional" par le Conseil régional d'Île-de-France en commission permanente du 25 janvier 2023.

Intérêt de l'édifice

À signaler

Statut juridique

Statut juridique du propriétaire

Propriété de la commune

Références documentaires

Date de l'enquête ou du dernier récolement

2022

Date de rédaction de la notice

2023

Noms des rédacteurs de la notice et du dossier

Philippe Emmanuelle

Cadre de l'étude

Typologie du dossier

Dossier individuel

1/24
Détail d'une mosaïque des ateliers Mauméjean représentant un poisson et du pain, symboles de la manne du Christ unissant les fidèles durant l'Eucharistie.
Détail d'une mosaïque des ateliers Mauméjean représentant un poisson et du pain, symboles de la manne du Christ unissant les fidèles durant l'Eucharistie.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Détail d'une mosaïque des ateliers Mauméjean, représentant un Pélican nourrissant ses petits de sa chair et de son sang, symbole du Christ.
Détail d'une mosaïque des ateliers Mauméjean, représentant un Pélican nourrissant ses petits de sa chair et de son sang, symbole du Christ.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Dans la chapelle-baptistère, vue générale du vitrail de Valentine Reyre représentant le Credo (1937). En bas, la date de 1937 et les signatures de Valentine Reyre et Marguerite Huré.
Dans la chapelle-baptistère, vue générale du vitrail de Valentine Reyre représentant le Credo (1937). En bas, la date de 1937 et les signatures de Valentine Reyre et Marguerite Huré.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Dans la chapelle-baptistère, vue générale du vitrail de Valentine Reyre représentant un Ange (symbole de la Marraine, durant le sacrement) (1937).
Dans la chapelle-baptistère, vue générale du vitrail de Valentine Reyre représentant un Ange (symbole de la Marraine, durant le sacrement) (1937).
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Dans la chapelle-baptistère, vue générale du vitrail de Valentine Reyre représentant la Trinité (1937).
Dans la chapelle-baptistère, vue générale du vitrail de Valentine Reyre représentant la Trinité (1937).
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Dans la chapelle-baptistère, vue générale du vitrail de Valentine Reyre représentant un Ange (symbole du Parrain, lors du sacrement) (1937)
Dans la chapelle-baptistère, vue générale du vitrail de Valentine Reyre représentant un Ange (symbole du Parrain, lors du sacrement) (1937)
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Dans la chapelle-baptistère, vue générale du vitrail de Valentine Reyre représentant le Notre-Père (1937).
Dans la chapelle-baptistère, vue générale du vitrail de Valentine Reyre représentant le Notre-Père (1937).
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Vue générale du vitrail de Valentine Reyre dédié aux trois grands saints missionnaires, Saint-François Xavier, Saint-François d'Assise et Saint-Antoine de Padoue.
Vue générale du vitrail de Valentine Reyre dédié aux trois grands saints missionnaires, Saint-François Xavier, Saint-François d'Assise et Saint-Antoine de Padoue.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Vue générale du vitrail de Valentine Reyre dédié à la vie de Saint-Albert.
Vue générale du vitrail de Valentine Reyre dédié à la vie de Saint-Albert.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Vue générale du vitrail de Valentine Reyre dédiée à la vie de Sainte-Anne.
Vue générale du vitrail de Valentine Reyre dédiée à la vie de Sainte-Anne.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Vue générale du vitrail en forme de tondo de Valentine Reyre (1937) représentant Sainte-Catherine de Sienne soutenant le martyr Nicolo Tuldo.
Vue générale du vitrail en forme de tondo de Valentine Reyre (1937) représentant Sainte-Catherine de Sienne soutenant le martyr Nicolo Tuldo.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Détail d'un vitrail en forme de pétale avec un séraphin.
Détail d'un vitrail en forme de pétale avec un séraphin.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Détail du vitrail en forme de pétale représentant la ville de Sannois avec la colline du Mont Trouillet, le moulin à vent et le clocher de l'église. Il porte la dédicace des époux Couderc en souvenir de leur fils et les signatures de Valentine Reyre et de Marguerite Huré.
Détail du vitrail en forme de pétale représentant la ville de Sannois avec la colline du Mont Trouillet, le moulin à vent et le clocher de l'église. Il porte la dédicace des époux Couderc en souvenir de leur fils et les signatures de Valentine Reyre et de Marguerite Huré.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Détail du centre de la rosace, avec Sainte Thérèse de Lisieux. En prière, vêtue de l'habit carmélite, elle est entourée de huit panneaux en forme de pétales.
Détail du centre de la rosace, avec Sainte Thérèse de Lisieux. En prière, vêtue de l'habit carmélite, elle est entourée de huit panneaux en forme de pétales.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Signature des ateliers Mauméjean, en-dessous d'une frise montrant la parenté revendiquée de leur travail avec les mosaïques byzantines.
Signature des ateliers Mauméjean, en-dessous d'une frise montrant la parenté revendiquée de leur travail avec les mosaïques byzantines.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Vue générale de la chapelle dédiée à Joseph, décorée par les ateliers Mauméjean.
Vue générale de la chapelle dédiée à Joseph, décorée par les ateliers Mauméjean.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Détail du chapiteau roman du XIIe siècle.
Détail du chapiteau roman du XIIe siècle.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Vue générale de la chapelle dédiée à Marie, décorée par les ateliers Mauméjean.
Vue générale de la chapelle dédiée à Marie, décorée par les ateliers Mauméjean.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Vue générale de la nef et du chœur.
Vue générale de la nef et du chœur.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Date de pose de la première pierre.
Date de pose de la première pierre.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Détail du portail de l'église.
Détail du portail de l'église.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Vue générale de l'église.
Vue générale de l'église.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Vue générale de l'église Saint-Pierre-Saint-Paul de Sannois.
Vue générale de l'église Saint-Pierre-Saint-Paul de Sannois.
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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Vue générale de la rosace de Valentine Reyre, consacrée à Sainte-Thérèse de Lisieux (1936).
Vue générale de la rosace de Valentine Reyre, consacrée à Sainte-Thérèse de Lisieux (1936).
(c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
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