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Plateforme ouverte du patrimoine

le mobilier de l'église du Sacré-Coeur

Désignation

Titre courant

Le mobilier de l'église du Sacré-Coeur

Localisation

Localisation

Occitanie ; 12 ; Rodez ; Tarayre (avenue de) ; église paroissiale du Sacré-Coeur

Numéro INSEE de la commune

12202

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Rodez agglomération

Adresse de l'édifice

Tarayre (avenue de)

Nom de l'édifice

Église paroissiale du Sacré-Coeur

Référence Mérimée de l'édifice

IA12112026

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En ville

Emplacement de l’œuvre dans l’édifice

Porte ouest

Description

Catégorie technique

Orfèvrerie ; vitrail ; céramique ; sculpture ; peinture ; tissu ; passementerie ; menuiserie ; marbrerie

Historique

Lieu de création

Lieu d'exécution : Ile-de-France, 75, Paris ; lieu d'exécution : Rhône-Alpes, 69, Lyon

Siècle de création

4e quart 19e siècle ; 4e quart 20e siècle

Description historique

Le mobilier de l’église du Sacré-Cœur est composé d’éléments dont la grande majorité provient de commandes passées au moment de la construction de l’église et date donc de la fin du 19e ou du début du 20e siècle. Seules les statues de sainte Bernadette et sainte Thérèse de Lisieux sont du second quart du 20e siècle. Le mobilier du chœur ainsi que le tabernacle présent dans la sacristie sont les éléments les plus récents de l’église. Ils ont été réalisés en 1986, par le menuisier-ébéniste Jean Joly à Rodez. Le tabernacle été offert par l’artiste à la paroisse en 2010. Les verrières peintes ont été réalisées entre 1893 par le peintre-verrier ruthénois Laurent Théotine Lachaize et certaines sont signées de son monogramme : « L.T.L.». L’orgue a été installé dans l’église en 1902, peu de temps après sa construction. Il est l’œuvre de l’entreprise « Puget Théodore et fils », tout comme celui de l’église Saint-Amans de Rodez. Les pièces d’orfèvreries conservées dans la sacristie sont en grande majorité datables de la fin du 19e siècle. Les ensembles de chandeliers et de candélabres présentent des éléments de décor similaires comme des griffons, ce qui montre bien l’homogénéité des commandes passées au moment de la construction de l’église. Les reliquaires de sainte Thérèse de Lisieux et celui de sainte Bernadette Soubirous furent probablement acquis au même moment que les statues présentes dans l’église, dans le second quart du 20e siècle. Certaines pièces ont été achetées à la fin du 20e voir au début du 21e siècle. Les poinçons de cinq orfèvres sont identifiés. Celui des Frères Demarquet, orfèvres à Paris, des frères Favier, dont l’atelier se trouve à Lyon, tout comme celui des orfèvres Charles-Frédéric Berger et Henri Nesme, ou encore celui de Louis Gille. Seule une patène semble être antérieure à la Révolution. Les œuvres faisant l’objet d’une notice individuelle sont étudiées sous les références IM12001475 à IM12001521.

Statut juridique et protection

Statut juridique du propriétaire

Propriété de la commune

Références documentaires

Cadre de l'étude

Dénomination du dossier

Présentation du mobilier

Date de l'enquête ou du dernier récolement

2015

Date de rédaction de la notice

2015

Adresse du dossier Inventaire

Conseil régional Occitanie - Direction de la Culture et du Patrimoine - Service Connaissance et Inventaire des Patrimoines 22, bd Maréchal Juin 31406 Toulouse cedex 9 - Espace Capdeville, 417 Rue Samuel Morse, 34000 Montpellier - 05.61.39.62.47

Vue d'ensemble de la nef et du choeur.
Vue d'ensemble de la nef et du choeur.
(c) Rodez agglomération ; (c) Inventaire général Région Occitanie
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