peinture murale : les travaux des mois

Désignation

Dénomination de l'objet

Peinture monumentale

Titre courant

Peinture murale : les travaux des mois

Localisation

Bourgogne-Franche-Comté ; Côte-d'Or (21) ; Pagny-la-Ville ; église paroissiale Saint-Léger

Numéro INSEE de la commune

21474

Précision sur la localisation

Anciennement région de : Bourgogne-Franche-Comté

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Seurre

Nom de l'édifice

Église paroissiale Saint-Léger

Référence Mérimée de l'édifice

IA00071060

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En village

Emplacement de l’œuvre dans l’édifice

Comble de la nef, murs latéraux

Description

Catégorie technique

Peinture

Matériaux et techniques d'interventions

Mortier (support) : fresque

Description matérielle

Peinture sur enduit ; couleurs : ocre rouge et ocre jaune sur fond blanc

Indexation iconographique normalisée

Scènes (agriculture) ; ornementation (arcade, frise, bâton brisé)

Description de l'iconographie

Description : sur le mur droit, série d'arcades en anse de panier abritant des scènes de la vie paysanne symbolisant les travaux des mois, sur le mur gauche, seuls un personnage et un arbre sont encore visibles, sur les deux murs, frise supérieure à décor de bâtons rompus.

Dimensions normalisées

H = 109 ; l = 1450 (hauteur maximum visible, longueur approximative des scènes du mur droit) ; arcades : la = 90 environ ; frise supérieure : h = 24

État de conservation (normalisé)

Mauvais état ; oeuvre mutilée

Précisions sur l'état de conservation

Partie inférieure des scènes masquée par les voûtes ; enduit pioche, fissuré et dégradé à la partie supérieure ; scènes du mur gauche illisibles

Historique

Auteur de l'œuvre ou créateur de l'objet

auteur inconnu

Siècle de création

13e siècle

Description historique

Peinture murales du 13e siècle ornant la partie supérieure des murs latéraux de la nef ; occultées au 18e siècle lors de la construction des voûtes actuelles à un niveau plus bas que celui de la charpente d'origine ; redécouvertes en 1843 par l'abbé Rapp, curé de la paroisse, sous une épaisse couche de mortier et dégagées à cette époque.