Horloge d'édifice
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Horloge d'édifice
Bourgogne-Franche-Comté ; Doubs (25) ; Besançon ; 1 rue Labbé ; école professionnelle dite Ecole nationale d'Horlogerie puis lycée polyvalent Jules Haag
25056
Anciennement région de : Franche-Comté
Besançon ouest
Labbé (rue) 1
École professionnelle dite Ecole nationale d'Horlogerie puis lycée polyvalent Jules Haag
IA25000690
En ville
Dans le corps d'entrée, au dernier étage
Horlogerie ; fonderie
Fer ; fonte de fer ; acier ; laiton ; émail
Désaffecté, le mécanisme d'origine de l'horloge est conservé au dernier étage de l'entrée principale de l'école, dans le corps formant pan coupé : mouvement à poids et balancier supporté par un bâti métallique à 4 pieds, assemblages boulonnés, engrenages en acier ou en laiton, échappement à ancre, écran de contrôle métallique émaillé blanc, 3 roues dentées pour la programmation des sonneries (jours, heures et quarts d'heure).
Dimensions approximatives : h = 150, la = 160, pr = 60.
Manque ; hors état de marche
Le système électrique qui commandait les sonneries manque.
Date ; signature ; inscription concernant le donateur ; inscription concernant le lieu d'exécution
La plaque en laiton vissée à l'avant du bâti porte l'inscription : Don / fait à l'Ecole nationale d'Horlogerie par / MM. J. & A. Ungerer / Fabrique d'Horloges d'Edifice fondée 1796 / Strasbourg / 1930.
Lieu d'exécution : Alsace, 67, Strasbourg
2e quart 20e siècle
1930
L'Ecole nationale d'Horlogerie doit obligatoirement avoir une horloge monumentale particulièrement soignée. Lors de la consultation destinée à sélectionner un fournisseur, en février 1929, le choix est vite arrêté : la société Ungerer Frères de Strasbourg offre de la fournir gratuitement. Fondée en 1858 par Jules (1851-1917) et Alfred (1861-1933) Ungerer, successeurs de Jean-Baptiste Schwilgué (1776-1856), cette société est installée depuis 1903 au 16 rue de la Broque, à Strasbourg. En 1929, dirigée par Alfred Ungerer et ses deux fils, Théodore (1894-1935) qui sera chargé du suivi de cette commande - et Charles (1895-1971), elle traite aussi avec la municipalité au sujet de l'électrification des horloges publiques. Elle prévoit un mouvement, avec remontage automatique, renforcé du fait du poids des aiguilles lumineuses. Ce mécanisme a été déposé dans le 4e quart du 20e siècle, pour être remplacé par un mouvement électrique, par la même société (dirigée par Charles et son fils Michel puis
Propriété d'un établissement public
Dossier individuel
2002
2005
Conseil régional de Franche-Comté - Direction de l'Inventaire du patrimoine 4, square Castan 25031 Besançon Cedex - 03.81.65.72.10