Lustre d'église
Suspension
Couronne de lumières
Lustre d'église : suspension, couronne de lumières
Auvergne-Rhône-Alpes ; Drôme (26) ; Le Pègue ; le Village ; église paroissiale Saint-Marcel et Saint-Menne
26226
Anciennement région de : Rhône-Alpes
Grignan
Village (le)
Église paroissiale Saint-Marcel et Saint-Menne
IA26000092
En village
Déposé à la sacristie
Dinanderie ; bronze d'art
À bougie ; plan (circulaire)
Laiton (structure, décor) : repoussé, estampage, ciselé, décor à la molette, doré, vernis, décor en bas relief ; bronze (garniture, décor) : fondu, percé, décor en bas relief
Lustre d'église suspendu, de plan circulaire, couronne en bronze doré, portant 8 bougeoirs à tige cylindrique et bobèche circulaire, soudés tout autour, vasque en laiton verni doré ; 4 chaînes, en barres de laiton découpées et assemblées par maillons, sont accrochées à la couronne, et 4 courtes chaînes les relient à un anneau intermédiaire pour la lampe à huile. Décor en bas relief sur la ceinture de la couronne, encadrée de deux frises découpées et percées ; décor estampé et à la molette sur la tige des bougeoirs. La vasque est galbée en talon souligné d'un cavet nu et d'un cul-de-lampe (boulonné), terminé par un anneau ; décor estampé et repoussé sur la partie supérieure et le cul-de-lampe.
Ornementation (à rinceaux, à croix tréflée : imbriqué, à quadrilobe : en frise, à arcature : en frise, en bordure, à trèfle, à fleuron, à chou frisé, à rayure, ornement à forme végétale)
Décor néo-médiéval : la ceinture de la couronne est ornée d'une frise de quadrilobes dans des cercles, bordée de deux frises d'arcatures trilobées et à chou frisé, garnies de trèfles et de fleurons ; rayures nues et bandes végétales alternent sur la tige à fond strié des bougeoirs ; partie supérieure de la vasque ornée de croix tréflées dans des rinceaux végétaux, feuillage sur le cul-de-lampe et les bobèches.
H = 135 ; la = 50 Hauteur chaînes comprises ; vasque et bougies : h = 40 : maillons des chaînes : l = 20.
La veilleuse en verre manque.
2e moitié 19e siècle
L'inventaire du mobilier de l'église en 1846 ne mentionne ni lampe, ni lustre. Ceux du 1er mars 1867 et du 15 avril 1883 répertorient un lustre et 3 lampes suspendues ; les comptes de la fabrique notent l'arrivée de lampes en 1885, enfin '2 lampes pour le sanctuaire' sont acquises entre 1889 et 1894. Ce lustre pourrait être celui noté dès 1867 dans l'inventaire, donc datable entre 1846 et 1867 ; mais il est peut-être considéré comme une lampe suspendue, ainsi que deux autres (non étudiés) déposés à la sacristie, ce qui remet en cause la précision de sa datation. Le lustre d'église actuellement en place dans la nef, dont la fonction ne prête pas à confusion, est quant à lui beaucoup plus tardif.
Propriété de la commune
Dossier individuel
1998
1999
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