Bannière
Bannière rouge de la chorale (n° 2)
Occitanie ; Gard (30) ; Nîmes ; Prague (boulevard de) ; église paroissiale Sainte-Perpétue
30189
Nîmes
Prague (boulevard de)
Église paroissiale Sainte-Perpétue
IA30003004
Sacristie ; tiroir 3
Broderie ; tissu
: velours uni ; soie : application sur textile ; verre transparent ; cuivre : doré
Bannière rectangulaire à trois lambrequins ; tout le décor est à appliques de broderies métalliques dorées sur rembourrage de carton, cousues sur le velours rouge. Des verroteries rouges, bleues, vertes et blanches (cinq manquent), lame de cuivre matricée dorée, cordonnet entouré d'une large lame dorée complètent les matériaux de l'ornementation. Une face est à inscriptions, l'autre face est ornée d'une harpe, d'une clé de do, d'une clé de sol, d'une clé de fa et de deux palmes.
Harpe ; musique ; musique vocale ; palme
Bon état
Inscription concernant le propriétaire
Inscription : sur une face : « société chorale / de / Ste Perpétue / Nîmes
3e quart 19e siècle
Le 19 novembre 1876 , « Mr le curé a exposé au conseil qu’'une société orphéonique composée de quelques anciens membres de la société paroissiale dite la Lyre d'’or réclamait les insignes et la banière de la dite société. Il a révélé au conseil le désir exprimé». Le président de la société vient dire : « 1° que la société dont il est régulièrement institué président était bien la Lyre d’'or, et 2° qu’'elle avait en cette qualité acheté et payé la bannière de la dite société. Mr le curé a répondu que la société dite Lyre d’'or avait été primitivement et n’'avait jamais cessé d’'être un choeœur paroissial, institué par un vicaire de la paroisse, dirigée par le Maistre de chapelle de la paroisse. De plus, il a été établi en ce qui touche à la bannière qu’'elle avait été achetée par Monsieur l’'abbé Serre, vicaire de Ste Perpétue, payé moitié par lui, moitié par Mr le curé Londès, que le local où se faisait les répétitions et les frais d’'éclairage avait toujours été à la charge de la fabrique, aussi a-t-il conclu au rejet pur et simple de la demande.» En fait, cela fait de telles histoires, que la fabrique laisse la bannière à l'association. Elle lui serait revenue plus tard … ?
Propriété de la commune
Dossier individuel
2010
2011