Statue
Petite nature
Statue (petite nature) : la renommée
Nouvelle-Aquitaine ; Gironde (33) ; Cadillac ; rue du Général de Gaulle ; collégiale Saint-Blaise, Saint-Martin
33081
Cadillac
Général de Gaulle (rue du)
Collégiale Saint-Blaise, Saint-Martin
IA33000045
En village
Couronnement du tombeau
Ile-de-France, 75, Paris, musée du Louvre
Sculpture ; fonderie
Revers sculpté ; présence d'un noyau
Bronze (jaune) : fondu à la cire perdue à noyau, patine, décor rapporté
Bronze jaune doré légèrement rose, patiné brun foncé ; fonte d'un seul jet ; le noyau est partiellement resté à l'intérieur ; les ailes, la trompette dans la main droite et un autre élément dans la main gauche sont rapportés ; accidents de fonte sur l'épaule et l'avant-bras droits ; un fer carré d'environ 50 centimètres de long, engagé dans le pied gauche, fixait la statue à son support
Figure (femme, en pied, en équilibre, nu, aile, tuba)
Femme nue, ailée, en équilibre sur le pied gauche, la jambe droite tendue derrière elle ; elle souffle dans un tuba tenu de la main droite, le bras tendu ; le bras gauche est légèrement plié en arrière du corps, la main tient un objet.
H = 134 (hauteur actuelle)
Changement de forme ; partie remplacée ; manque
Lors du remplacement des ailes d'origine en bois bronze par d'autres en bronze, le mouvement de l'aile gauche a été modifié ; le vent qui portait le pied gauche (il reste un morceau du nuage) a été remplacé par un socle sphérique ; il manque un objet dans la main gauche (une 2e trompette ?)
Ile-de-France, 75, Paris
1er quart 17e siècle
Commandée en 1597 avec le tombeau à Pierre Biard, sculpteur parisien, la statue, portée par un socle de plan carré, s'élevait entre les statues orantes du duc et de la duchesse (cf. Dessin de Van der Hem, 1638 ou 1639) et faisait face au tableau d'autel de la chapelle ; préservée de la destruction en 1792, elle fut envoyée à Bordeaux en 1804, restaurée (ailes, socle) par le sculpteur Joseph Chinard (1756-1813) et placée en 1805 par le sculpteur Bordelais André Joseph _Queva (1754-1844) sur une colonne de marbre (monument à la gloire de Napoléon) dans le jardin de la préfecture (actuelle mairie) ; elle y resta jusqu'à son transport au musée du Louvre où elle figure sur le registre d'entrée en octobre 1834, la mention de provenance (château Trompette) étant erronée ; une copie (avec variantes) se trouve à la National Gallery à Londres, peut-être exécutée lors de l'installation de l'original à Bordeaux en 1804-1805, en tout cas sans les transformations qu'on y fit alors ; l'objet manquant dans la main gauche ne figure pas non plus sur le dessin de Van der Hem ; un moulage, exécuté par les ateliers du musée du Louvre, et donné par la Réunion des Musées Nationaux en 1994, se trouve dans la chapelle (la partie supérieure du socle est constituée d'un fragment d'entablement du tombeau)..
Propriété publique
À signaler
Sous-dossier
Tombeau de la chapelle funéraire des ducs d'Epernon
IM33000014
1995
1996
Région Nouvelle-Aquitaine - Service du Patrimoine et de l’Inventaire, site de Bordeaux - 5, place Jean-Jaurès 33000 Bordeaux - 05 57 57 72 37