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Plateforme ouverte du patrimoine

le mobilier de l'église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption

Désignation

Titre courant

Le mobilier de l'église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption

Localisation

Localisation

Nouvelle-Aquitaine ; Landes (40) ; Heugas ; église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption

Numéro INSEE de la commune

40125

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Dax sud

Nom de l'édifice

Église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption

Référence Mérimée de l'édifice

IA40001548

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En village

Historique

Auteur du projet

Murillo Bartolomé Esteban (d'après, peintre)

Description historique

Du mobilier ante-révolutionnaire de l'église ne subsiste aujourd'hui que la chaire à prêcher du 18e siècle, tardivement remaniée et surdécorée, et peut-être les fonts baptismaux en pierre, difficilement datables. Le reste de l'ameublement aurait disparu au moment de la transformation (hypothétique) de l'édifice en temple de la Raison. En 1811, peu avant sa mort, Pierre Ramonbordes, ancien planteur à Saint-Domingue, offre un nouveau maître-autel avec retable en stuc, réalisé 'par des artistes italiens' en 1812-1814. L'ensemble est complété au milieu du 19e siècle avec le don, par sa fille Eulalie Puymiro, d'un tableau de l'Assomption dû au peintre Romain Cazes (1808-1881) - tableau supprimé dans les années 1970 et aujourd'hui perdu. La chapelle de la Vierge est restaurée et pourvue d'un nouvel autel de marbre en 1841, parallèlement à l'achat d'un grand meuble de sacristie en pin. La seconde moitié du 19e siècle voit la fonte de plusieurs cloches, par le Dacquois F.-D. Delestan (1857) et le Tarbais U. Dencausse (1879 et 1889), et la pose de verrières figurées par le Bordelais G.-P. Dagrant (1873 et 1877). Cet ensemble ne connaîtra plus que des modifications et ajouts mineurs aux 20e et 21e siècles : nouveau chemin de croix par la maison Chantrel en 1924, monument aux morts d'après Ch. Desvergnes installé lors de la mission de 1931, restauration du maître-autel et du décor intérieur en 2009-2011. Les pièces d'orfèvrerie conservées à la sacristie, toutes des 19e et 20e siècles, sortent d'un atelier bordelais (L. Dupouy) et de fabriques parisiennes (P.-H. Favier, Demarquet frères) et lyonnaises (L. et P. Gille, Berger et Nesme). Les ornements liturgiques du 19e siècle, ruinés, ont été détruits en 1992.

Statut juridique et protection

Statut juridique du propriétaire

Propriété de la commune

Références documentaires

Cadre de l'étude

Dénomination du dossier

Présentation du mobilier

Partie constituante non étudiée

Lambris de demi-revêtement ; dalle funéraire ; croix de cimetière ; confessionnal ; bénitier ; clôture des fonts baptismaux ; tronc ; banc de fidèles ; prie-Dieu ; fauteuil de célébrant ; meuble de sacristie ; chandelier pascal ; pupitre d'autel ; pupitre-thabor ; réserve à eau baptismale ; encensoir ; navette à encens ; croix de procession ; lanterne de procession ; croix ; chandelier d'église ; bourse de corporal ; armoire ; placard ; chandelier ; statue ; tableau ; livre ; cloche

Date de l'enquête ou du dernier récolement

2011

Date de rédaction de la notice

2011

Adresse du dossier Inventaire

Région Nouvelle-Aquitaine - Service du Patrimoine et de l’Inventaire, site de Bordeaux - 5, place Jean-Jaurès 33000 Bordeaux - 05 57 57 72 37