le mobilier de la chapelle Don Bosco

Désignation

Titre courant

Le mobilier de la chapelle Don Bosco

Localisation

Grand Est ; Meurthe-et-Moselle (54) ; Nancy ; 14 rue Vayringe ; chapelle Don Bosco

Numéro INSEE de la commune

54395

Précision sur la localisation

Anciennement région de : Lorraine

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Nancy

Adresse de l'édifice

Vayringe (rue) 14

Nom de l'édifice

Chapelle Don Bosco

Référence Mérimée de l'édifice

IA54003297

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En ville

Description

Catégorie technique

Peinture murale ; menuiserie ; orfèvrerie ; dessin ; peinture murale

Matériaux et techniques d'interventions

Verre (support) : peint ; enduit (support) : peint ; bois ; papier

Description matérielle

Outre la peinture du Chemin de croix réalisée sur les murs latéraux (murs peints en rose) dans une tonalité de marron ourlé de traits noirs, le décor est très sobre : au-dessus de l'entrée dans la nef se trouve un bas-relief en plâtre dans un cadre en bois représentant saint Jean Bosco et un enfant (en buste) et, sur le mur, un portrait du saint à la craie grasse ; sur l'une des portes de la sacristie, à gauche de l'autel, un verre peint simulant un vitrail monté au plomb figure la scène du Calvaire dans un style néo-roman.

Indexation iconographique normalisée

Passion ; Calvaire ; saint Jean Bosco

Description de l'iconographie

Calvaire : verre peint

Historique

Auteur de l'œuvre ou créateur de l'objet

Chapuis (peintre) ; Collin Jean-Marie (architecte) ; Bertaux J (?, peintre) ; George A (?, peintre) ; Masson Pierre (dessinateur)

Siècle de création

20e siècle ; 1er quart 21e siècle

Année de création

1947 ; 1997 ; 2005

Description historique

Le mobilier de la chapelle Don Bosco comprend un chemin de croix peint sur les murs latéraux par Chapuis (probablement François Chapuis 1928-2002). Cet ensemble a été modifié à une date indéterminée, le décor architectural et les personnages secondaires qui occupaient l'espace entre les scènes principales ayant disparu (le récit de la Passion du Christ couvrait le mur de façon continue), les scènes correspondant aux 14 stations ayant été détourées. Participant à la rénovation de la chapelle, quelques oeuvres furent mises en place en 1997, avec le conseil de l'architecte nancéien Jean-Marie Collin, dans l'espace autour de l'autel : peinture monumentale couvrant le mur du fond de l'abside (auteur non connu, représentation de l'Annonce de la Résurrection du Christ à travers l'ange s'adressant aux trois Femmes, inscription : il est ressucité), verre peint (sur la porte nord de la sacristie, à gauche de l'autel) simulant un vitrail réalisé par les enfants du catéchisme sous la houlette de l'abbé Jacques Musquar (signature en bas à gauche : J. Bertaux, A. George), grande croix nue en bois disposée sur le mur du fond (à droite de l'autel). Au-dessus de l'entrée dans la nef le bas-relief en plâtre de saint Jean Bosco date de la seconde moitié du 20e siècle et, sur le mur, le dessin à la craie grasse est daté 2005 et signé Pierre Masson (lithographe à Malzéville, décédé quelques années plus tard). Parmi les objets conservés à la sacristie (étudiés dans la base Palissy), la plupart date de la seconde moitié du 20e siècle et ont été acquis après la construction de la chapelle : 1 calice et patène (IM54301792), 2 paires de chandeliers (IM54301793), 1 claquoir (IM54301795), 1 croix (IM54301795), garniture d'autel (IM54301801), 1 navette à encens (IM54301803), des burettes (IM54301805), 1 seau à eau bénite avec goupillon (IM54301806) ; parmi eux se trouve une étole (IM54301800) ayant appartenu à l'abbé Lenhard, fondateur de la chapelle. Quelques objets (étudiés dans la base Palissy), de provenance inconnue, sont antérieurs et datent du 19e siècle : croix de procession (IM54301798), encensoir (IM54301799), ciboire (IM54301796). On note également la présence d'un vitrail de dévotion signée G. Janin et datée 1900 (IM54301807). La cloche (IM54014423) contenue dans le campanile n'a pas été réalisée pour cette chapelle, puisqu'elle fut fondue en 1849, sa provenance demeure inconnue à ce jour.