saint sépulcre

Dénomination de l'objet

Saint sépulcre

Titre courant

Saint sépulcre

Localisation

Grand Est ; Meuse (55) ; Saint-Mihiel ; 3 place des Alliés ; abbaye de bénédictins Saint-Michel

Numéro INSEE de la commune

55463

Précision sur la localisation

Anciennement région de : Lorraine

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Saint-Mihiel

Adresse de l'édifice

Alliés (place des) 3

Nom de l'édifice

Abbaye de bénédictins Saint-Michel

Référence Mérimée de l'édifice

IA55000106

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En ville

Emplacement de l’œuvre dans l’édifice

Adossé au mur du jardin

Catégorie technique

Taille de pierre ; sculpture

Matériaux et techniques d'interventions

Calcaire (blanc) : taillé (en plusieurs éléments) ; marbre (rouge) : taillé, poli ; bois : taillé

Description matérielle

Structure : calcaire à grain fin de Saint-Mihiel. Colonnes : marbre. Croix en bois

Indexation iconographique normalisée

Croix ; arbre ; pierre ; colonne ; balustre

Description de l'iconographie

Christ en croix. Arbres morts. Amas de pierres. Linceuls.

Dimensions normalisées

271 h;226 la;40 pr ; dimensions de l'ensemble. partie inférieure:h=93,la=226,pr=25

État de conservation (normalisé)

Oeuvre mutilée

Auteur de l'œuvre ou créateur de l'objet

Lieu de création

Lorraine ; 55 ; Saint-Mihiel

Siècle de création

2e quart 16e siècle

Année de création

1539

Description historique

Vestiges provenant de la chapelle que dom Louvent, trésorier de l'abbaye de Saint-Mihiel, fit ériger de 1539 à 1541, date par source, dans le cimetière de l'abbaye, au retour d'un voyage en Terre Sainte, sur le modèle et avec les proportions du Saint-Sépulcre de Jérusalem qu'il venait de visiter. Chapelle dédiée à la fois à la sainte Trinité, à la Résurrection du Christ, aux neuf choeurs des anges et aux onze mille vierges, consacrée en 1548 ou peu après ; édicule construit par Pieresson La Chausse et son fils Michel, maîtres maçons, Claude, imagier, les peintures, les inscriptions, les armoiries et les anges ayant été l'oeuvre de Cuny Bertin, de Rambucourt ; édicule partiellement détruit vers 1756, dont les vestiges, conservés in situ, ont été regroupés et disposés tels qu'ils le sont encore, peut être à l'époque Révolutionnaire, la maison et ses dépendances ayant été acquises en 1792 par pierre Michel Martin, amateur d'art éclairé ; la croix en bois a été mise à l'emplacement qu'elle occupe au cours des dernières décennies.

Statut juridique du propriétaire

Propriété d'une personne privée

Intérêt de l'objet

À signaler

Cadre de l'étude

Dénomination du dossier

Dossier individuel

Date de l'enquête ou du dernier récolement

1975

Date de rédaction de la notice

1995

Adresse du dossier Inventaire

Conseil régional de Lorraine - service régional de l'inventaire général Hôtel Ferraris - 29, rue du Haut Bourgeois 54000 Nancy - 03.83.32.90.63