Calice et patène

Désignation

Dénomination de l'objet

Calice ; patène

Titre courant

Calice et patène

Localisation

Grand Est ; Bas-Rhin (67) ; Bossendorf ; rue Principale ; église paroissiale Saint-Laurent

Numéro INSEE de la commune

67058

Précision sur la localisation

Anciennement région de : Alsace

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Hochfelden

Adresse de l'édifice

Principale (rue)

Nom de l'édifice

Église paroissiale Saint-Laurent

Référence Mérimée de l'édifice

IA67008962

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En village

Description

Catégorie technique

Orfèvrerie

Matériaux et techniques d'interventions

Argent : repoussé, ciselé, doré, ajouré

Description matérielle

Calice en argent doré au pied circulaire mouluré, à la tige composée d'un noeud piriforme encadré de deux collerettes moulurées. Coupe unie avec fausse coupe en argent ajourée. Patène sans décor.

Description de l'iconographie

Frises de rais de coeur et de godrons, raisins, fleurs et feuillages sur le pied. Décor similaire sur la fausse coupe, avec en plus coquilles de style rocaille, et motif d'une cruche renversée d'où jaillit de l'eau.

Dimensions normalisées

H = 25,5 ; Hauteur du calice ; patène : d. = 14,2.

Précisions sur l'état de conservation

Pied légèrement enfoncé à la rencontre avec la tige.

Inscription

Poinçon de maître ; poinçon de ville ; lettre-date

Précisions sur l'inscription

Poinçon de maître (IMLIN) sous le pied. Poinçon de la ville de Strasbourg sous le pied (chiffre 13 couronné), sur la coupe et la patène (le même, fleurdelisé). Lettre-date sous le pied (lettre D couronnée), sur la coupe et la patène (la même, fleurdelisée).

Historique

Auteur de l'œuvre ou créateur de l'objet

Imlin (orfèvre)

Lieu de création

Alsace, 67, Strasbourg

Siècle de création

3e quart 18e siècle

Description historique

Calice réalisé par un orfèvre strasbourgeois de la famille des Imlin. D'après sa lettre-date, il pourrait dater soit de 1755 (hypothèse la plus probable et dans ce cas serait de la main de Jean Louis III, maître en 1746 et mort en 1768), soit de 1779 étant donné l'emploi tardif du style rocaille à Strasbourg. Il serait, dans ce dernier cas, l'oeuvre de son frère Georges Frédéric, maître en 1751, décédé en 1782.