Bassin à burettes et deux burettes

Désignation

Dénomination de l'objet

Bassin à burettes ; burettes (2)

Titre courant

Localisation

Grand Est ; Bas-Rhin (67) ; Wilwisheim ; place de l'Eglise ; église paroissiale Saint-Martin

Numéro INSEE de la commune

67534

Précision sur la localisation

Anciennement région de : Alsace

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Hochfelden

Adresse de l'édifice

Eglise (place de l')

Nom de l'édifice

Église paroissiale Saint-Martin

Référence Mérimée de l'édifice

IA67009226

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En village

Description

Catégorie technique

Orfèvrerie

Matériaux et techniques d'interventions

Argent : repoussé, ciselé, doré

Description matérielle

Bassin à l'aile moulurée et contournée. Burettes au pied circulaire à ressauts, à la panse ovoïde, au bec contourné fermant par un couvercle à charnière dépourvu de poucier et à l'anse en volute rapportée. Seul l'intérieur des burettes est doré.

Dimensions normalisées

L = 26,5 ; Longueur du bassin ; burettes : h = 13.

Inscription

Poinçon de maître ; poinçon de ville ; lettre-date ; inscription(initiales) ; armoiries

Précisions sur l'inscription

Poinçons insculpés sur le fond des burettes et du bassin : poinçon de maître (ALBERTI dans un rectangle), poinçon de la ville de Strasbourg (chiffre 13 couronné), lettre-date correspondant à l'année 1772 (lettre V couronnée). Initiales A (aqua) et V (vinum) sur les couvercles des burettes. Armoiries identifiées de la famille de Wangen gravées sur les panses des burettes et sur la face intérieure du bassin.

Historique

Auteur de l'œuvre ou créateur de l'objet

Alberti Jacques Henri (orfèvre)

Lieu de création

Alsace, 67, Strasbourg

Siècle de création

3e quart 18e siècle

Année de création

1772

Description historique

Bassin à burettes et ses burettes réalisés par l'orfèvre strasbourgeois Jacques Henri Alberti en 1772, d'après les poinçons et la lettre-date. Cet orfèvre, né en 1730 et mort en 1795, a été reçu maître en 1764. Cet ensemble a été offert par la famille de Wangen, propriétaire du château. D'après les travaux historiques, cette dernière aurait également donné un calice, volé en 1947, dont ne subsiste que la patène (sommaire objets mobiliers).