Peintures monumentales

Dénomination de l'objet

Peinture monumentale

Titre courant

Peintures monumentales

Localisation

Grand Est ; Bas-Rhin (67) ; Lauterbourg ; rue de l'Eglise ; église paroissiale Sainte-Trinité

Numéro INSEE de la commune

67261

Précision sur la localisation

Anciennement région de : Alsace

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Lauterbourg

Adresse de l'édifice

Eglise (rue de l')

Nom de l'édifice

Église paroissiale Sainte-Trinité

Référence Mérimée de l'édifice

IA67008823

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En ville

Emplacement de l’œuvre dans l’édifice

Peinture cachée par un placard, sur le mur de l'abside.

Catégorie technique

Peinture

Matériaux et techniques d'interventions

Enduit (support)

Description matérielle

Deux couches (au moins) paraissent superposées (la peinture n'a pu être examinée dans le détail).

Description de l'iconographie

Mont des oliviers (?).

Dimensions normalisées

Dimensions non prises.

Précisions sur l'état de conservation

Peintures abîmées et recouvertes.

Auteur de l'œuvre ou créateur de l'objet

Siècle de création

3e quart 15e siècle (?) ; 16e siècle (?)

Description historique

En 1898, le curé Meyer indiquait (p. 125) qu'avant la mise en peinture de l'église en 1878, on découvrit des peintures anciennes qui ne méritaient pas d'être conservées, à l'exception d'un ecce homo du côté de l'évangile (cette peinture n'existe plus ou a été recouverte depuis). En 1913-14, Knorr (p. 148) observait de rares vestiges de peintures se situant à côté de l'autel, entre les fenêtres : huit scènes individualisées dont une sainte Cène et d'autres représentations non identifiables comportant de nombreux phylactères avec inscriptions latines. La sainte Cène a disparu, elle est cependant peut-être conservée sous le badigeon car par endroits l'enduit a disparu, laissant apparaître des peintures. Sur la scène figurée qui subsiste, on croit distinguer un phylactère parmi la demi-douzaine de personnages ; elle pourrait représenter un Mont des oliviers mais la lecture est entravée par une superposition de couches peintes et surtout par le mauvais état des vestiges. Cet état rend par ailleurs la datation des peintures extrêmement délicate. Le choeur nouvellement construit fut consacré en 1467, la première couche de peinture pourrait dater de cette époque. La seconde couche de peinture remonte peut-être au 16e siècle (?). Un travail de dégagement et de restauration serait nécessaire.

Statut juridique du propriétaire

Propriété publique (?)

Intérêt de l'objet

À signaler

Cadre de l'étude

Dénomination du dossier

Dossier individuel

Date de l'enquête ou du dernier récolement

1999

Date de rédaction de la notice

2001