2 tableaux : La Remise du rosaire à saint Dominique et à sainte Catherine par la Vierge et Sainte Madeleine au pied de la croix

Désignation

Dénomination de l'objet

Tableau (2)

Titre courant

Localisation

Grand Est ; Haut-Rhin (68) ; Widensolen ; rue de l'Eglise ; église paroissiale Saint-Nicolas

Numéro INSEE de la commune

68367

Précision sur la localisation

Anciennement région de : Alsace

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Andolsheim

Adresse de l'édifice

Eglise (rue de l')

Nom de l'édifice

Église paroissiale Saint-Nicolas

Référence Mérimée de l'édifice

IA68004947

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En village

Emplacement de l’œuvre dans l’édifice

Nef

Description

Catégorie technique

Peinture

Matériaux et techniques d'interventions

Toile (support) : peinture à l'huile

Description matérielle

Tableau rectangulaire à traverse supérieure cintrée.

Indexation iconographique normalisée

Appatition de la Vierge à saint Dominique de Guzman ; sainte Madeleine

Description de l'iconographie

Remise du rosaire à saint Dominique et à sainte Catherine par la Vierge ; Sainte Madeleine au pied de la croix.

Dimensions normalisées

H = 180 (Hauteur approximative)

Précisions sur l'état de conservation

Soulèvements ; lacunes ; écailles.

Inscription

Signature (peinte, latin)

Précisions sur l'inscription

Transcription de la signature au pied de sainte Madeleine (milieu) : 'Hillenweckh pinxit'. Transcription de la signature sur le tableau du Rosaire (coin inférieur droit) : 'Hillenweckh inv. et pinxit'.

Historique

Auteur de l'œuvre ou créateur de l'objet

Hillenweck François (peintre)

Lieu de création

Alsace, 68, Thann

Siècle de création

2e quart 18e siècle

Description historique

Ces deux tableaux sont contemporains des autels secondaires et sont datables du 2e quart 18e siècle. Ils ont été peints par François Hillenweck (1673-1748) tout comme les deux tableaux des couronnements. Il semblerait que l'iconographie du tableau de la Remise du Rosaire soit une création de Hillenweck, comme le prouve la mention ' inv[enit] ' accompagnant la signature, alors qu'il s'inspira d'un modèle pour peintre Marie-Madeleine au pied de la croix.