Ensemble de 6 peintures monumentales

Désignation

Dénomination de l'objet

Peinture monumentale (6)

Titre courant

Localisation

Grand Est ; Haut-Rhin (68) ; Altkirch ; 23 rue du 3e-Zouaves ; chapelle Saint-Morand

Numéro INSEE de la commune

68004

Précision sur la localisation

Anciennement région de : Alsace

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Altkirch

Lieu-dit

Saint-Morand

Adresse de l'édifice

3e-Zouaves (rue du) 23

Nom de l'édifice

Chapelle Saint-Morand

Référence Mérimée de l'édifice

IA68006224

Milieu d'implantation pour le domaine Inventaire

En écart

Emplacement de l’œuvre dans l’édifice

Sur les murs latéraux

Description

Catégorie technique

Peinture

Matériaux et techniques d'interventions

Peinture à l'huile

Description matérielle

Les panneaux sont délimités par des cadres chantournés en stuc.

Indexation iconographique normalisée

Saint Morand ; allégorie : religion, charité, espérance

Description de l'iconographie

Les panneaux sont décrits en partant de la gauche de l'autel. Panneau 1 : la Religion (une femme tenant un calice avec une hostie, la croix est survolée par la colombe de l'Esprit). Panneau 2 : les pèlerins en prière au tombeau de saint Morand. Panneau 3 : une femme, les yeux baissés, les mains croisées sur la poitrine. Panneau 4 : la Charité (une femme tenant un coeur enflammé sur sa poitrine et désignant un phénix et ses petits). Panneau 5 : saint Morand guérissant le comte Frédéric de Ferrette. Panneau 6 : l'Espérance (une femme tenant une ancre et la tête surmontée d'une étoile).

Dimensions normalisées

Dimensions non prises.

Précisions sur l'état de conservation

Restauré.

Historique

Auteur de l'œuvre ou créateur de l'objet

Oster Michel (peintre)

Siècle de création

3e quart 19e siècle

Année de création

1856

Description historique

Selon ' Le prieuré, l'hôpital et le cimetière de Saint-Morand ', p. 32-33, la décoration de la chapelle à l'emplacement de la cellule où serait mort saint Morand est réalisée après 1756. Mais les panneaux délimités par des cadres en stuc qui ont peut-être reçu des peintures de Giuseppe Appiani en 1768 sont dus à Michel Oster qui les a réalisés en 1856. On ne sait s'il s'est inspiré de sujets antérieurs. En tout état de cause, les peintures actuelles accusent très nettement sa main.