Statue (2)
Grandeur nature
Statues de la marquise et du marquis d'Aligre
Bourgogne-Franche-Comté ; Saône-et-Loire (71) ; Bourbon-Lancy ; allée d'Aligre ; hôpital d'Aligre, actuellement centre hospitalier
71047
Anciennement région de : Bourgogne-Franche-Comté
Bourgogne
Bourbon-Lancy
Aligre (allée d')
Hôpital d'Aligre, actuellement centre hospitalier
IA71001829
En ville
Dans le parc, à l'entrée
Sculpture
Revers sculpté
Bronze
Statue en bronze sur piédestal en pierre.
Portrait (en pied)
Statue en pied de la marquise d'Aligre ; statue en pied du marquis d'Aligre.
Marquise : h = 175 ; marquis : h = 190 ; piédestal : h = 210
Signature (en creux) ; inscription donnant l'identité du modèle (gravée, sur partie rapportée)
Signature sur la base de la statue de la marquise : Varin f.te 1843. Statue du marquis non signée. Inscription sur plaque d'ardoise fixée sur le piédestal de la marquise : L.C.A. / CAMUS DE PONTCARRE / MARQUISE D'ALIGRE / NEE ET DECEDEE A PARIS / 26 AVRIL 1776 / 27 JANVIER 1843. Sur le piédestal du marquis : E.J.F.G. / MARQUIS D'ALIGRE / PAIR DE FRANCE / NE ET DECEDE A PARIS / 20 FEVRIER 1770 / 11 MARS 1847.
Lieu d'exécution : Ile-de-France, 75, Paris
Milieu 19e siècle
Après la mort de sa femme en 1843, le marquis d'Aligre en fit réaliser une effigie en bronze pour le jardin de son hôtel, 27 rue d'Anjou à Paris. A la même époque, la municipalité de Bourbon-Lancy commanda également une statue en bronze de la marquise d'Aligre sans doute sur le même modèle. Cette dernière devait orner la fontaine d'une source que son mari avait donnée à la ville. C'est place Saint-Léger, devenue place d'Aligre, que furent érigés le monument et la fontaine inaugurés le 25 juillet 1845 (Un âge d'or des arts décoratifs 1814-1848, RMN, 1991, p. 467-469). Le 20 mars 1882, on décide de 'transférer dans la cour d'honneur de l'hôpital les statues de la marquise et du marquis d'Aligre provenant du monument de la place Saint-Léger, et de les installer selon le projet de l'architecte Roidot' (A. H. Bourbon-Lancy). La statue du marquis n'est citée qu'à cette occasion, elle a probablement été fondue entre 1845 et 1882. Un nommé Varin est cité, en 1820, dans l'Almanach du Commerce de Paris comme fondeur en caractères fontainiers.
Propriété d'un établissement public
Dossier individuel
2009
2010
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