Horloge
Horloge électrique ; régulateur astronomique
Fénon n° 120
Horloge astronomique Fénon n° 120
Bourgogne-Franche-Comté ; Doubs (25) ; Besançon ; 41 avenue de l'Observatoire ; observatoire
25056
Anciennement région de : Bourgogne
Besançon nord-ouest
Bouloie (la)
Observatoire (avenue de l') 41
Observatoire
IA25000379 ; PA25000047
Bâtiment d'essais et bureaux
Astronomie
Instrument spécialisé
Laiton ; verre ; acier ; acajou
L'horloge électrique est dotée d'un système de remise à l'heure Borrel et d'un balancier cylindrique simple. Elle possède une caisse en acajou qui s'ouvre sur toute la hauteur par la porte avant, vitrée.
Coffre : h = 138, la = 24, pr = 20 ; cadran : d = 20
Manque ; oeuvre transformée
L'horloge, à laquelle il manque le cadran et le poids du mouvement, avait été modifiée par ajout d'un contact électrique horaire et à secondes, d'une remise à l'heure Borrel et d'un balancier acier/invar.
Lieu d'exécution : Île-de-France, 75, Paris
4e quart 19e siècle
1893
Bien que l'absence de cadran ne permette pas d'identifier cette horloge avec certitude, il s'agit vraisemblablement de la Fénon n° 120, visible sur des illustrations de l'exposition de Nancy en 1909. Synchronisée par la pendule Fénon n° 45, cette horloge est installée de 1893 à 1908 dans la coupole de l'équatorial droit. A cette date, elle subit de la société L. Leroy & Cie les mêmes ajouts que la Fénon n° 113, affectée à l'altazimut, qu'elle doit doubler dans le système de transmission automatique de l'heure : balancier acier/invar, contact électrique horaire et à secondes, remise à l'heure Borrel (successeur d'Amédée-Philippe Borrel - lui-même élève et successeur de Jean Wagner en 1856 -, Georges Borrel est l'horloger mécanicien en titre de l'Institut et de la Marine ; il est établi au 47 rue des Petits Champs - auparavant 118 rue Montmartre -, à Paris). Son cadran est en partie découpé, au niveau de l'affichage des secondes, afin de rendre accessible les nouvelles vis de réglage. Elle est alors installée dans le pavillon de la bibliothèque, en remplacement de la n° 113 qui est en réfection à partir du 30 mai 1910. En 1925, la Fénon n° 120 est encore utilisée pour la transmission de l'heure mais actionne également un barographe Richard. Vers 1948, la société Leroy la dote d'un nouveau contact de précision pour l'envoi des tops horaires (tops de secondes à partir de 1954), commandé par le balancier au moment de son passage par la verticale. Elle est remplacée dans cette fonction en 1955 par l'horloge à pression constante Leroy n° 1769. (texte de la notice Inventaire)
Propriété de l'Etat
Classé au titre objet
2019/02/04 : classé au titre objet
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