2 vitrines à température constante pour horloge

Dénomination de l'objet

Meuble professionnel ; armoire (2)

Précision sur la typologie de l'objet - hors lexique

Armoire à température constante

Titre courant

2 vitrines à température constante pour horloge

Localisation

Bourgogne-Franche-Comté ; Doubs (25) ; Besançon ; 41 bis avenue de l'observatoire ; observatoire

N° INSEE de la commune au moment de la protection

25056

Précision sur la localisation

Anciennement région de : Bourgogne

Aire d'étude pour le domaine Inventaire

Besançon

Canton

Besançon nord-ouest

Lieu-dit

Bouloie (la)

Adresse de l'édifice

Observatoire (avenue de l') 41 bis

Nom de l'édifice

Observatoire

Référence Mérimée de l'édifice

IA25000379 ; PA250000047

Emplacement de l’œuvre dans l’édifice

Salle méridienne

Catégorie technique

Chronométrie

Matériaux et techniques d'interventions

Chêne ; verre

Description matérielle

Destinées à accueillir des horloges, les armoires à température constante possèdent quatre faces vitrées, à doubles parois. Elles ont, dans un second temps, été munies de deux tablettes.

Dimensions normalisées

H = 182 ; la = 81 ; pr 81

Auteur de l'œuvre ou créateur de l'objet

Lieu de création

Lieu d'exécution : Ïle-de-France, 75, Paris

Siècle de création

1er quart 20e siècle

Année de création

1904

Description historique

Dès son arrivée à la tête de l'observatoire en 1903, Auguste Lebeuf réforme en profondeur le service chronométrique, installé dans le pavillon de la méridienne, et réorganise suivant un plan élaboré par l'aide-chronométrier Auguste Hérique la salle qui lui est affectée, au rez-de-chaussée du bâtiment. Il achète en 1904 à la maison Lequeux deux vitrines, à doubles parois vitrées et régulation thermique, afin de maintenir à température constante la pendule directrice Fénon n° 45, installée jusque-là dans la bibliothèque, et une pendule de temps moyen (Leroy n° 16319). Ces meubles servent actuellement de vitrines de présentation, d'où l'ajout des tablettes. La société fondée par Paul Lequeux a succédé en 1892 à l'atelier de verrerie et d'appareils de chauffage pour les laboratoire créé en 1831 par Wiesnegg à Paris (rue des Ursulines ?), à proximité de l'Ecole normale supérieure où oeuvre Pasteur. Fabriquant des étuves et des autoclaves, elle a été acquise en 1989 par le groupe Getinge.

Statut juridique du propriétaire

Propriété de l'Etat

Typologie de la protection

Classé au titre objet

Date et typologie de la protection

2019/02/04 : classé au titre objet

Cadre de l'étude

Dénomination du dossier

Dossier individuel