Torchère
Paire de torchères à neuf branches de lumière
Grand Est ; Meurthe-et-Moselle (54) ; Haroué ; château de Craon
54252
Anciennement région de : Lorraine
Château de Craon
PA00106043
Lieu de dépôt : Île-de-France, 78, Maisons-Laffitte, château de Maisons
Luminaire
Bronze : patiné, ciselé ; bois : taillé, peint
Paire de torchères à neuf branches de lumière : fût cannelé, orné de feuilles d'acanthe, palmettes, godrons, myosotis, trois pieds en griffes de lion, base triangulaire, socle incurvé imitation marbre. Métal : bronze patiné, ciselé ; bois : peint (socle).
H = 132,5 ; la = 58,5 ; h (socle) = 45
Lieu de provenance : Île-de-France, 93, Saint-Ouen, château
1er quart 19e siècle
1821 ; 1822
Paire de torchères appartenant à un ensemble d'objets mobiliers provenant de la commande privée passée par le roi Louis XVIII pour l'ameublement du château de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis, PA00079960) offert à Madame Zoé-Victoire Talon, comtesse du Cayla (1785-1852), qui rachètera officiellement le château à l’architecte Huvé, le 29 octobre 1822. Après 1869, la fille de la comtesse du Cayla, épouse du prince de Beauvau-Craon, fait transférer ce mobilier et les oeuvres d'art commandées ou acquises par Mme du Cayla dans le château de Craon, à Haroué (54) où il a été conservé par succession. Depuis le 9 décembre 2016, elles sont conservées au château de Maisons à Maisons-Laffitte. Inv. de 1852 : ce modèle attribué à Thomire se trouvait dans plusieurs pièces du château en différentes tailles : dans la salle à manger, deux paires, dans la salle de billard, trois paires à neuf lumières, dans le salon, une autre paire à neuf lumières. https://presse.monuments-nationaux.fr/view/pdf/2092911
Propriété de l'Etat
Classé au titre objet
2016/06/02 : classé au titre objet
CNMH du 01/04/2016. Classement d'office (décret du 2 juin 2016). Acheté par l'État le 8 novembre 2018.
DPOM 2016-1492 (1 et 2)
Inventaire après décès de Zoé Victor Talon, comtesse du Cayla, veuve d'Achille Pierre Antoine de Baschy, comte du Cayla, pair de France, demeurant rue Saint-Dominique, n°40, 17 avril 1852 par maître Yver, le 17 avril 1852 (AN, minutier central, MC/ET/XVII/1276).
Dossier individuel
78358