Tableau
Tableau : Le Lavement des pieds
Île-de-France ; Paris (75) ; Paris 13e arrondissement ; 47-83 boulevard de l'Hôpital ; chapelle Saint-Louis-de-la-Salpêtrière
75056 ; 75113
Hôpital (boulevard de l') 47-83
Chapelle Saint-Louis-de-la-Salpêtrière
Église Saint-Louis, chapelle Sud
Peinture
Toile (support) : peinture à l'huile
La différence iconographique avec les versions de Newcastle et du Prado tient seulement en l'absence d'une apparition miniaturée de la Cène au-dessus de la tête du Christ.
Lavement des pieds
H = 210 ; la = 516
Italie (école)
1er quart 17e siècle
Variante d'après Le Tintoret. Semble procéder directement de la version acquise par Charles Ier d'Angleterre, et de nos jours au Prado (controverse sur la chronologie et les degrés d'autographie des versions du Prado et de Newcastle). Celle du Prado pourrait ne pas être la version mise en place en 1547 à l'église San Marcuola de Venise, mais en revanche, grâce à un atelier mieux organisé, avoir constitué un parachèvement propre à être apprécié hors de la pénombre d'une église, modèle pour des générations d'artistes. Ici, la technique a un peu de la rondeur de l'école romaine, tandis que l'esprit de la relecture évoque l'école florentine. Le Florentin Santi di Tito (1536-1603), un tenant d'une figuration familière des Ecritures et aussi spécialiste de perspectives architecturales, aurait-il désigné une des versions du Tintoret à l'attention de tel ou tel de ses nombreux élèves, qui migrèrent ensuite à Rome, tel Ciarpi ? Le Romain Federico Zuccaro, qui travailla à Florence et poussa jusqu'à Venise, a pu être un autre relais.
Propriété d'un établissement public
Classé au titre objet
2003/12/12 : classé au titre objet
CAOA (75.2001.III.7.Z, 75.2001.III.8.Z, 75.2001.III.9.Z, , 75.2001.III.9A.Z75.2001.III.10.Z, 75.2001.III.11.Z, 75.2001.III.12.Z, 75.2001.III.23A.Z)
Dossier individuel
2023